de banana le Mer Mar 26, 2008 6:05 pm
Dans les autres universités de Montréal, la session estivale est divisée en 2 sessions indépendantes: mai-juin et juillet-août. C'est un système génial, fait sur mesure pour ceux qui étudient à temps partiel durant l'année entière pour éviter l'endettement. Évidemment, l'UQÀM ne se donne pas la peine de développer ce créneau.
Je ne crois pas que la session soit perdue, mais que la session d'été pourrait être repoussée à juillet-août. J'ai de la difficulté à croire que tous les chargés de cours aient déjà des engagements pour la fin du mois de mai - et il y a un paquet d'étudiants au doctorat et à la maîtrise qui seraient selon moi fort heureux d'obtenir une première charge de cours, même dans les circonstances actuelles. Et si Concordia, McGill et l'UdM arrivent à combler des charges de cours en juillet-août, pourquoi pas l'UQÀM?
Désolé pour ceux qui dépendent de leurs revenus d'été pour leurs études...
Nous habitons je ne sais quel creux de la Terre, et nous croyons habiter au plus haut; l'air, nous l'appelons ciel, comme si c'était à travers cet air, pris pour du ciel, que se meuvent les astres.