de Panurge le Lun Oct 22, 2007 12:24 am
Je comprends que tu aies trépigné d'impatience à l'idée de plugger ton concept de «vices logiques», mais la tempérance t'eut mieux réussi en l'occurence, mon trait n'étant rien moins que vicié.
Démonstration :
J'ai dit qu'il était étrange que tu me raillasses d'avoir des idées impopulaires alors que les tiennes l'étaient au moins autant, et sûrement davantage. C'était donc à dire que tu me reprochais un trait que tu partageais, donc que, logiquement, tu te reprochais toi-même ce trait. Or sauf à supposer que tu comptasses justement te moquer de toi-même -ce que je n'ai pas fait-, il s'agissait effectivement d'une situation involontairement ironique, donc marrante. Un remake moderne de la paille et de la poutre.
L'exemple des chats et des chiens que tu m'opposes n'a rien à voir. Dans ce cas, on compare deux traits distincts, savoir le fait d'aimer les chats et le fait d'aimer les chiens.
Il eut plutôt fallu le formuler de cette manière : «T'es qu'un gros naze d'aimer les chats. Au fait, mon animal préféré est le chat». Ce à quoi j'eus répondu : «C'est marrant que tu me reproches d'aimer les chats, puisque tu les aimes aussi». Ergo.
Je dirai finalement que le plus triste, c'est de n'avoir ni le fond ni la forme. Hélas, Frankie! À te lire, des larmes déferlent sur mes pommettes écarlates.
Olivier L >> Je suis déjà content que tu en aies lu un peu. Si tu trouves ma pensée vide, je t'invites à me laisser un commentaire.
Anarchie et réaction.