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Soutien à l'ASSÉ

MessagePosté: Mer Nov 21, 2007 1:02 am
de Pat02pat
J'ai été très surpris de voir ce midi à radio-cadenas une personne porter le petit carré rouge de l'ASSÉ. Cette personne est Armand Vaillancourt.
J'en suis rendu à deux personalités connues ayant appuyer publiquement la cause de l'ASSÉ.
Armand Vaillancourt
Franco Nuovo.
J'imagine que je pourrais ajouter Françoise David et Amir Khadir de Québec Solidaire.
Quelqu'un en connait d'autres?

MessagePosté: Mer Nov 21, 2007 1:40 am
de BenoitL
Armand Vaillancourt était là mercredi dernier et a livré un discours. Françoise David, pour sa part, était présente à la manif du 15 novembre.

Pour les autres qui n'osent pas prendre la parole, on ne saurait trop le deviner. Mais nous ne sommes pas seuls, ça c'est clair.

MessagePosté: Mer Nov 21, 2007 8:15 pm
de Landvättir
Armand Vaillancourt est mon héros depuis toujours. :D

MessagePosté: Mer Nov 21, 2007 8:52 pm
de Antoine
Je n'aime pas le titre du fil. Ce n'est pas un soutient envers l'ASSÉ de porter le carré rouge puisque je le porte. C'est un soutient envers la cause.

MessagePosté: Mer Nov 21, 2007 10:47 pm
de militant sans banière
en passant, beau cas de figure de récupération.

Le carré rouge en région ne rapporte pas directement à l'ASSÉ, qui je considère ici de très mauvaise foi en s'appropriant le carré rouge. Sans vouloir faire de polémique sur ce sujet car il est lointain et fort probablement oublier depuis, il y avait eu au début de la grève de 2005 je crois un mouvement semblable, le groupe rose ou quelque chose dans le genre ...

Et wake up gang, c'est seulement qu'à Montréal que le carré rouge est directement lié à l'ASSÉ.

Merci :)

MessagePosté: Mer Nov 21, 2007 11:11 pm
de Moïse
En fait, militant sans bannière, le sens attribué au carré rouge dépend de qui le porte, ou ne le porte pas...

J'ai croisé bien des gens qui refusent de le porter parce qu'ils l'associent à la grève (le moyen) et non la cause.

Certaines personnes le portent fièrement comme symbole de la gratuité. D'autres pour exprimer qu'ils sont contre le dégel. Pour d'autres, c'est le mouvement étudiant. Certains le portent peut-être comme signe d'allégeance à l'ASSÉ, mais je crois qu'il y a surtout beaucoup de gens qui en le voyant l'associent à l'ASSÉ. Ou au mouvement étudiant en général. Ou à un mini drapeau communiste. Certains ne voudraient pour rien au monde porter ce bout de tissu rouge si facile à fabriquer, par crainte d'être associé à la grève ou à l'ASSÉ.

Autour du jour du souvenir, ça devient encore plus mêlant. :)

Personnellement, je le porte comme symbole de l'endettement étudiant. C'est, à mon souvenir, le sens premier que le mouvement étudiant lui a attribué en 2005, après l'avoir récupéré au mouvement contre la pauvreté. "Carrément dans le rouge", voici ce qu'il signifie pour moi.

Mais à l'origine, lorsque le Collectif pour un Québec sans pauvreté l'utilisait en 2004, l'idée était "d'allumer une lumière rouge", toujours dans l'idée de l'association entre l'expression "dans le rouge" et l'endettement.

Pour plus de détails:
http://www.pauvrete.qc.ca/article-impr.php3?id_article=276

Voici une banderole que j'avais faite en 2005 pour afficher au Cégep, imprimée en noir et blanc 1mx6m environ. Le rouge était rajouté à la main .
Image
Utilisez librement.

MessagePosté: Mer Nov 21, 2007 11:15 pm
de militant sans banière
merci pour les souvenirs ;)

je ne souvenais plus de cette affiche, que de souvenirs ... :)

MessagePosté: Mer Nov 21, 2007 11:32 pm
de BenoitL
Moïse a écrit:Voici une banderole que j'avais faite en 2005 pour afficher au Cégep, imprimée en noir et blanc 1mx6m environ. Le rouge était rajouté à la main.
Image
Utilisez librement.

Avec la nouvelle machine de guerre de l'AFESH, ce temps est révolu.

MessagePosté: Mer Nov 21, 2007 11:43 pm
de militant sans banière
Benoit L,

Pas prêt à être aussi enthousiaste que toi, l'Impériale AFESH-UQÀM a déjà été mieux ...

MessagePosté: Mer Nov 21, 2007 11:43 pm
de Kapitaine_Kolon
Vous avez tout faux !!!

http://www.canada.com/montrealgazette/c ... b77b7f6f52

Yes, there are issues to be tackled. No, roughhouse tactics are not the way
PEGGY CURRAN, The Gazette
Published: Thursday, November 15

The evening student was very young and deadly earnest. A tuition hike and $160 boost in student fees at Université du Québec à Montréal this fall were terribly unfair, she said.

She'd moved to Montreal because commuting to and from her parents' home in Valleyfield took more than three hours by bus. But her folks were not paying a penny toward her tuition or living expenses and she was having trouble staying ahead of the bills.

"Sometimes I think I'd be better off if I just stayed home and collected welfare," she told a visitor to the gloomy classroom at the back of a converted office building on Ste. Catherine St. E.

She was outraged by UQÀM's decision to tack on extra fees to help cover its burgeoning deficit and said she was fully in favour of a student strike this week to protest against the increases.

Hear, hear, said a man at the back of the class, a wonderfully opinionated supporter of the Green Party. "University should be free here, like Finland."

Yet few classmates shared their enthusiasm. Silent until then, a young woman from China described what a privilege it is for students in her country to go to university - and how parents somehow scrape together the money to pay for it. A woman from South America described how she'd paid twice as much to get her first degree in Brazil, only to be told when she got here it was only as good as a CEGEP diploma.

"The money has to come from somewhere," said another student, a Quebec-born man in his mid-30s. "Who do you think is going to pay for your education if you don't?"

Such a good question.

On Monday, students in faculties representing half of UQÀM's students launched an unlimited strike to express their disgust with tuition hikes and increases in ancillary fees.

Just for a laugh, students - some wearing clown noses, others with the hoary look of veteran agitators - set up chairs in the middle of Ste. Catherine St. in a mock classroom. Then 100 protesters, some sporting a red square signifying their anarchist leanings, swarmed Claude Corbo, a veteran political science professor and former rector who is the only candidate who has come forward to lead UQÀM out of its current financial morass. Police were called and three men were arrested.

Before the strike began, leaders of five student associations signed an agreement with the university, pledging respect for the rights of individuals and belongings. Yet when the time came to close the campus for the night, protesters refused to leave, hurling chairs and ransacking classrooms before police managed to evict them.

On Tuesday night, action shifted to CÉGEP du Vieux Montréal, where 105 people were arrested and charged with assault and public mischief when they refused to leave the campus, used vending machines, chairs and a toilet to build a barricade and turned fire hoses on police.

You can bet they'll have other tricks in store this afternoon, when students from assorted campuses are expected to rally at Dorchester Square before their now-traditional descent on Premier Jean Charest's Montreal office on McGill College Ave.

In whose world does any of this constitute the behaviour of people who belong at a university? What brain surgeons-in-training imagine anyone will listen to their demands - never mind believe they're owed a free ride - when they've allowed their movement to be hijacked by a bunch of thugs who wouldn't go to class even if they were enrolled in a program?

Yes, there are legitimate issues that need to be tackled as Quebec slowly lifts the freeze on tuition fees. An overhaul of grants and bursary formulas is vital to ensure students from underprivileged families get a fair shake and don't have to drop out or graduate with an insupportable debt.

Parents, too, need to rethink their own responsibility toward the cost of their child's education, so a smart girl from Valleyfield with ambition isn't left carrying the whole load and feeling stressed and overwhelmed.

At UQÀM, students have cause to feel they're being made to pay part of the burden for real-estate follies that have pushed the school to the brink of bankruptcy.

Leaders of the strike there say students who don't want to be out on the street should have shown up at the assembly to vote against it. But students shouldn't be punished - or run the risk of losing a semester - because they'd rather go to class than strike or play at politics.

Especially when their student government can't be bothered to heed the rule of law.

pcurran@thegazette.canwest.com


Tiens... The Gazette appartient à Leonard "concentration des médias" Asper ?

MessagePosté: Mer Nov 21, 2007 11:45 pm
de militant sans banière
g jamais vu nul part dans les documents de l'ASSÉ quelle prône l'anarchie ...

À part quelques petits groupuscules nuisibles

MessagePosté: Mer Nov 21, 2007 11:54 pm
de Moïse
Ah oui, évidemment, si la journaliste le dit. Je suppose que je me suis trompé et que moi aussi je porte un carré rouge pour exprimer mon penchant anarchiste. :)

MessagePosté: Jeu Nov 22, 2007 12:01 am
de militant sans banière
lol, je m'en venterais pas trop lol,

ca donne une idée de comment l'ASSÉ est perçu côté anglophone ...

Mais bon, vous aurez toujours Boris pour vous soutenir à McGill ;)

MessagePosté: Jeu Nov 22, 2007 12:15 am
de Moïse
Ou une idée comment la journaliste n'a pas pris la peine de faire une enquête minimale (comme... demander) sur le sens de ce symbole arboré par les personnes à propos desquelles elle faisait son reportage.

Mais bon revenons sur les appuis publics au mouvement étudiant dans l'ensemble ou à l'ASSÉ en particulier.

MessagePosté: Jeu Nov 22, 2007 12:19 am
de militant sans banière
ha ben là moise, tu prône la mauvaise foi


je sens un malaise en moi, tu penses pas qui faudrait formé un comité des malaises à l'ASSÉ ??? Quand dis-tu ???

On pourrait invité la journaliste dans un bureau et lui expliquer manière ASSÉ ce que signifie le carré rouge qui est en train de devenir comme la poutine lol, tout le monde en revendique la création, mais qui sait d'où ça vient réellement, c p-ê un fucking dude boutonneux de Laval a kek part dans son sous sol qui c dit de meme qu'a partir de maintenant. le carré rouge devenait le symbole du mouvement étudiant ... sur bon débat a savoir d'ou ca vient !!!