C'est ce à quoi j'avais déjà songé mais le contexte actuel ne s'y prête pas du tout, et le temps est trop limite pour une telle réorganisation sans précédent du mouvement étudiant.
Par contre, je prône plus un front commun concernant la question du dégel des droits de scolarité. Mais ce n'est certainement pas avec des disucsions et des interventions comme que j'En vois dans ce fil que nous allons y arriver.
Le contexte actuel démontre bien qu'un tel travail doit être effectué.
Je ne vois pas du tout qu'est-ce qui presse tant que ça qui pêcherait ce travail là! Même que s'il n'est pas fait maintenant ce sera encore du temps perdu, car ce travail est indispensable dans le contexte actuel.
Le front commun doit se faire certes, contre le dégel des frais de scolarité. Pour ce faire il faut que le mouvement étudiant se mette d'accord, en entier, sur le moyen à prendre pour pouvoir se mobiliser contre le dégel des frais de scolarité. Ce que la FEUQ fait en ce moment, ce que l'ASSÉ n'a pas cherché à faire en conservant la gratuité scolaire, modèle qui n'est pas celui que prône la majorité étudiante.
Ça a créé une division considérable des forces étudiantes au cours de l'automne le tout mêlé à de l'improvisation et une volte-face qui aurait dû faire l'objet de la grève de l'UQAM dès le départ, soit le plan de redressement qui semble en effet être une erreur.
À partir de maintenant, la question qu'il faut se poser c'est : Quand est-ce qu'on se rencontre et que se tient l'AG des associations, confondues, pour aboutir sur un plan d'action cohérent qui, dans la mesure de la démocratie, sera débattu et derrière lequel tout le mouvement étudiant pourra se ranger.
Non seulement il faut arrêter de parler de manque de couilles, mais il faudra cesser les dogmes. Pour se préparer à ça je propose qu'on écoute tous les Vulgaires Machins et qu'on se fixe une date et un lieu assez grand pour contenir tout ce beau monde.