Une grève uniquement d'universitaire, dans le contexte actuel, m'apparait un peu suicidaire.
Pourquoi ?abaisser le plancher serait suicidaire.
Pourquoi pas ?ce serait juste mieux de ne pas en mettre pantoute.
L.-P. a écrit:Un mouvement de grève composé d'associations universitaires n'aurait pas une aussi grosse portée qu'une grève qui inclut les cégeps, de un. Elle pourrait l'être, je crois, si des assos genre Médecine, dentisterie, économie, HEC... bref, vous comprenez, partent en grève. Toutefois, si on est le moindrement réaliste, ces assos ne lèveront pas toutes seules. La grève universitaire serait probablement effective dans des assos modulaires/facultaires de l'UQÀM et de sciences sociales dans les autres universités (à moins que l'UL ait encore d'autres tours dans son sac:wink: ).
Les cégeps, eux, ont un rapport de force plus effectif, notamment par les techniques. On veut pas trop retarder le cheminement des techniques policières, par exemple. Des anthropologues (sans rancune, camarades de l'AÉÉA), toutefois, c'est moins grave.
Comme le dit Carbo, le plancher doit servir à créer le momentum. On crée pas un momentum intéressant avec des assos modulaires.
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