de Antoine le Dim Oct 14, 2007 10:11 pm
Ma principale crainte de mon coté, c'est que les fédérations refusent de marcher sur leurs orgueils et refuse de jetter toute leurs forces dans la bataille. C'est ce qui me fait le plus peure.. et que celles-ci laissent l'ASSÉ se planter avec son plafonnement à 30000-40000 étudiants en grève en pensant que ces dernières pourraient repartir une levée de grève à l'hiver mais sans les plus radicaux et les plus motivés. Tout le monde sait que c'est très dure de faire partir une grève.
Et je vais m'avouer extrêmement embetté présentement concernant la suite des choses et quoi suggérer à l'exécutif duquel je fais parti. Étant l'association la plus à gauche de la FECQ, nous avons comme une responsabilité de lancer le mouvement au sein de la Fédération mais j'ai aucune idée du niveau de motivation et si le reste de mon exécutif partage mon analyse de la chose, concernant, c'est maintenant ou jamais.
Le spectre de 1989 plane plus que jamais d'ailleurs si on refuse de tous se lancer maintenant dans cette bataille malgré que ça ne soit pas le moment qui ait été choisie par tout le monde. Semblerait-il que le plancher est sera atteint et il faudra modifier la stratégie en conséquence.
Je laisse l'invitation aux copains et copaines des fédérations étudiantes de sérieusement réfléchir à la question adevant que le plancher soit atteint.
Et ça s'appel que si le plancher est atteinte et que les fédérations décident d'embarquer dans la danse, qui va falloir se partager les campus qui ne sont pas mobilisée peu importe l'affiliation pour qu'ils embarquent dans la grève rapidement afin de rapidement atteindre un seul critique. Je sais que ça n'enchantera pas certaines personnes d'avoir à travailler main dans la main mais il faut se rappeler que nous sommes avant tout ici pour défendre la cause étudiante, les étudiants et les étudiantes avant de défendre nos organisations étudiantes.
Et des campus non mobilisé, il y en a beaucoup actuellement. Je compte au moins cinq sûre juste dans le Bas-du-Fleuve et sur la Côte-Nord.
Donc, c'est un pensez s'y bien, de quelque coté que vous soyez. On ne peux impérativement pas se permettre une catastrophe comme en 1989!