Comité de mobilisation de l'Université de Montréal

Discussions portant sur l'ASSÉ et le mouvement étudiant en général.

Comité de mobilisation de l'Université de Montréal

Messagede Pirate le Ven Fév 01, 2008 8:47 pm

Le comité de mobilisation de l'Université de Montréal organise une importante campagne de grève générale contre le dégel des frais de scolarité et la hausse des frais afférents. Le comité est indépendant et compte un nombre considérable d'étudiantes et d'étudiantes de plusieurs associations étudiantes.

La situation à l'université est devenue insoutenable. Jumelée au dégel du gouvernement, la décision de l'administration de hausser les frais afférents entraîne une hausse de la facture étudiante totale de 56% entre la session d'automne 2006 et l'hiver 2012. Il s'agit, au bout de cinq ans et demi, d'une augmentation de 1136,50$ par année.

Nous avons toutes les raisons de mener un combat sans merci contre l'administration de l'université et le gouvernement.

Nos revendications sont:
-Contre le dégel des droits de scolarité et pour l’abolition des droits afférents;
-Pour l’amélioration des ressources et des services en éducation (investissement dans les laboratoires et dans les bibliothèques, embauche de professeur-es, d’employé-es profesionnel-les et d’employé-es de soutien) dans une perspective d’éducation de qualité;
-Pour la mise en place d’un service de garde public, accessible et flexible dans tous les milieux d’étude postsecondaires, dans le but d’assurer une conciliation études-famille.

Plusieurs votes de grève se tiendront du 18 au 21 février dans le but de se joindre à un éventuel mouvement national de grève générale illimitée.

La colère gronde.

Il y a de l'espoir chez nous,

Serez-vous de la partie?


Pour nous joindre: mob_udm@listes.umontreal.ca
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Messagede eponyme le Sam Fév 02, 2008 3:58 pm

nous sommes bien partis, c'est vrai, mais rien n'est encore gagné...

comme j'ai dit, nos idées cheminent, mais il reste beaucoup de travail à faire. nous sommes environ 10 qui y travaillons de manière acharnée !

nous y arriverons 8)
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Messagede Tsunami Dan le Sam Fév 02, 2008 4:05 pm

vous avez batté la gratuité?
Are we enemies of the state?
Or idealist bourgeoisie?

-NOFX

Honey, I shrunk the momentum..
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Messagede eponyme le Sam Fév 02, 2008 5:01 pm

ouais. c'est un discours adapté à l'UdeM. nous sommes pour un réinvestissement massif, par contre. la gratuité, c'est une autre bataille.

ceci dit, je suis perso en faveur de celle-ci.
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Messagede Landvättir le Dim Fév 03, 2008 2:10 am

vous avez batté la gratuité?


Ce sont plutôt les premiers membres du comité qui se sont batté-e-s ailleurs.
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Messagede marechalCAMBRONNE le Dim Fév 03, 2008 2:28 pm

Hey un instant, s'ils se battent pour l'éducation ils sont des alliés, même s'ils ne proclamment pas que la gratuité scolaire est l'objectif. C'est comme demander au HEC de grever pour des universités auto-gérées!
Le seul péquiste membre de l'ASSÉ???
En fait on est 2! 2 portes paroles régionaux en plus.
C'est ben la première fois que je suis l'extrême droite de quelqu'un moi!
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Messagede eponyme le Dim Fév 03, 2008 3:46 pm

C'est une question de discours. La plupart (la totalité?) des membres sont en faveur de la gratuité.

Dans notre contexte universitaire spécifique et dans le contexte d'un pragmatisme avoué et rendu essentiel par le réalisme qu'impose l'échec de la session passée, nous avons préféré évacuer la question de la gratuité de notre discours actuel.

Landvattir, veux-tu assister à notre prochaine réunion ?
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Messagede Landvättir le Dim Fév 03, 2008 4:32 pm

Dans notre contexte universitaire spécifique et dans le contexte d'un pragmatisme avoué et rendu essentiel par le réalisme qu'impose l'échec de la session passée, nous avons préféré évacuer la question de la gratuité de notre discours actuel.


C'est une bien belle phrase.

Landvattir, veux-tu assister à notre prochaine réunion ?


J'y participe de temps en temps. Mais je ne sais pas si je serai là la prochaine fois, et de toute façon, il paraît que vous n'affichez plus sur la porte du café d'histoire.

Mais bon, je lirai votre bulletin d'information.

Pour le reste, c'est clair que je ne me joignerai pas officiellement à un groupe qui ne fait pas la promotion d'idées dont je suis proche, peu importe si la moitié des membres du comité sont anars. Ne prenez pas ça comme une bouderie, je suis seulement inefficace dans le compromis idéologique et donc d'aucune utilité dans la défense du gel des frais ou d'une autre tiède revendication rendue contradictoire et conformiste par l'espoir de rejoindre le plus grand nombre.

Et de plus, je suis très fortement opposé à certaines des méthodes du comité, que je trouve étouffantes et inutilement bureaucratiques. Si on m'avait laissé agir librement, à l'automne, dans les tâches qui m'avaient été confiées, je serais sans doute resté. Mais je ne fonctionne pas comme vous. Si j'ai envie d'écrire "néolibéralisme", j'écris "néolibéralisme". Si j'ai envie d'écrire "anticapitalisme", j'écris "anticapitalisme". Et c'est pas le réalisme qui me fera changer. Entre le pragmatisme et la franchise, je préfère encore la seconde option.
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Messagede eponyme le Dim Fév 03, 2008 9:35 pm

Je comprends ton point de vue... J'avais écrit un texte destiné au bulletin qui a été jugé trop « hardcore » par le comité et ils l'ont modifié intégralement.

Je suis aussi d'avis qu'il y a indigence idéologique.
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Messagede Landvättir le Dim Fév 03, 2008 11:13 pm

J'avais écrit un texte destiné au bulletin qui a été jugé trop « hardcore » par le comité et ils l'ont modifié intégralement.


Faut pas se laisser faire. :wink:

Je n'essaierai pas de nuire au comité.
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Messagede Abondius le Dim Fév 03, 2008 11:54 pm

Ce qui est certain par rapport au comité de mobilisation de l'Université de Montréal, c'est qu'il est le plus fort regroupement politique depuis 3 ans à l'Université. Une vingtaine de personne travaille activement au bon fonctionnement de la mobilisation et il est bien possible qu'on joigne parmi les premiers un mouvement de grève lors de la semaine du 18 février.

Par ailleurs, quant aux supposées considérations idéologiques du comité, il s'agit plutôt de considérations stratégiques qui ont été décidées collectivement et qui n'ont rien à voir avec l'anarchisme. Les deux personnes (eponyme et Landvattir) qui critiquent les décisions du comité à leur égard n'ont à peu près jamais exprimé les considérations stratégiques nécessaires à une victoire du comité de mobilisation. Landvattir m'a ainsi déjà affirmé que, même si une grève générale illimitée avait lieu sur la question de la gratuité (ce qui est impossible dans la réalité), le gouvernement ne céderait pas et le mouvement étudiant n'obtiendrait pas la gratuité. Par ailleurs, comme la réalité l'exige, ces individus défendent la gratuité tout en étant incapables de défendre leur opinion politique intégrale dans le cadre des travaux du comité. De ce fait, ils transforment la gratuité scolaire en dogme. Cela est une idée tout autant farfelue que la gratuité n'a jamais constitué la revendication principale d'une grève générale illimitée dans l'histoire du mouvement étudiant québécois, bien que le principe ait été constamment défendu par des organisations nationales étudiantes.

Quant à l'article suggéré par Eponyme, le style de l'article allait clairement contre l'idée adoptée par le comité que le buletin devait se faire de sorte qu'on cesse d'être associé à des gauchistes finis. Le comité a tout de même adopté un nouvel article qui avait pour objectif, dans des mots moins agressifs, de démontrer que le dégel était une politique économique de droite, ce qui était le principal propos de l'article initial d'Eponyme qui était à cette époque à San Francisco.

L'opinion que je défends a été accepté par le comité qui s'est, au fur et à mesure des mois, aggrandi. Il était évident que la position dogmatique des premiers membres sur la gratuité scolaire n'était pas pour tenir à une popularisation du comité de mobilisation à l'Université de Montréal. Je crois tout de même que le travail de base de certains de ces premiers membres a été très utile à la constitution d'un comité efficace de mobilisation. Et j'espère que les décisions du comité de mobilisation continueront à se prendre démocratiquement.
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Messagede Landvättir le Lun Fév 04, 2008 1:41 am

Sérieusement, Abondius, tu rajoutes de l'huile sur le feu! Ceci n'est qu'un forum, et j'y écris à titre personnel. Pas besoin de riposter par une contre-attaque massive dans les listes de diffusion, ici même et ailleurs.

Landvattir m'a ainsi déjà affirmé que, même si une grève générale illimitée avait lieu sur la question de la gratuité (ce qui est impossible dans la réalité), le gouvernement ne céderait pas et le mouvement étudiant n'obtiendrait pas la gratuité.


J'ai sans doute voulu dire que le gouvernement ne cèderait tout simplement pas, qu'on se batte pour la gratuité ou non, par dépit. Pour le reste, mes propos ont été déformés, à moins que la citation à laquelle tu fais référence date du temps où j'étais dans la FECQ, il y a quatre ans.

Non mais! On répond, à la critique très légère que je fais ici, par un déluge d'attaques et de paroles sournoises! Pourquoi tant de haine?

Je ne considère pas avoir été brimé par le comité. Pas moi. Seulement, je n'ai pas les mêmes méthodes. Comme je l'ai dit plus tôt, je reconnais que d'avoir un discours plus rassembleur est plus efficace, mais je ne donne pas personnellement dans ce style-là. J'avoue que les termes que j'ai choisis étaient un peu durs, mais j'aurais pu dire des choses bien plus vexantes encore. Je vous invite à vous adoucir un peu, ça sert à rien de s'énerver pour une niaiserie pareille.

On se réconcilie, maintenant, ou je devrai me sentir mal la prochaine fois qu'on se rencontre dans une manif?

Par ailleurs, comme la réalité l'exige, ces individus défendent la gratuité tout en étant incapables de défendre leur opinion politique intégrale dans le cadre des travaux du comité. De ce fait, ils transforment la gratuité scolaire en dogme.


Quand la revendication de la gratuité scolaire, dans le comité de mobilisation, est tombée, j'étais parti depuis longtemps. Les accusations que tu veux porter aux "dogmatiques" ne tiennent pas à mon encontre.
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Messagede BlacKGuarD le Lun Fév 04, 2008 2:00 am

Je m'immisce dans le débat car il relève un peu de tout le mouvement étudiant.

Ce qui est certain par rapport au comité de mobilisation de l'Université de Montréal, c'est qu'il est le plus fort regroupement politique depuis 3 ans à l'Université. Une vingtaine de personne travaille activement au bon fonctionnement de la mobilisation et il est bien possible qu'on joigne parmi les premiers un mouvement de grève lors de la semaine du 18 février.

Lorsque tu dis "qu'on joigne", tu réfères à qui, en particulier? Certains modules? L'UdeM? Votre comité?

Par ailleurs, quant aux supposées considérations idéologiques du comité, il s'agit plutôt de considérations stratégiques qui ont été décidées collectivement et qui n'ont rien à voir avec l'anarchisme.

Les considérations stratégiques auxquelles tu fais références sont, avant tout, d'ordre idéologique. Pourquoi, diable, n'assumez-vous pas votre allégeance politique? Prôner le statut quo et le gel, c'est une position politique et idéologique. Il serait temps d'arrêter de se draper du pourpoint du grand stratège: vous n'en êtes pas. Vos idées sont des idées et des idéologies au même titre que les nôtres. Ce n'est pas parce que vous faites preuve de davantage de tiédeur dans vos aspirations qu'elles prennent soudainement l'aspect de grands mouvements stratégiques.

Les deux personnes (eponyme et Landvattir) qui critiquent les décisions du comité à leur égard n'ont à peu près jamais exprimé les considérations stratégiques nécessaires à une victoire du comité de mobilisation.

Nous y venons. Que considérez-vous comme une victoire? Quels sont les objectifs du Comité de Mobilisation en question? J'ai cru comprendre que le grand objectif d'Eponyme et de Landvattir, sur la question de l'accessibilité aux études, était la gratuité. Ce me semble être un objectif assez défini, ne croyez-vous pas? Maintenant, vous les critiquez sur l'absence de "considérations stratégiques". C'est grotesque: vos buts diffèrent. Les considérations stratégiques vont nécessairement diverger si vous n'avez pas la même définition de ce que serait une victoire.

De toute façon, en général, les considérations stratégiques sont, chez la plupart, une façon de cacher leur mollesse et leur absence de combativité sous une façade de compromis et de modération. De l'aplat-ventrisme. Historiquement, cela n'a pas bien réussi à la classe ouvrière et aux mouvements sociaux. Mais je suppose que vous avez dû en tenir compte dans vos "considérations stratégiques"...

Landvattir m'a ainsi déjà affirmé que, même si une grève générale illimitée avait lieu sur la question de la gratuité (ce qui est impossible dans la réalité), le gouvernement ne céderait pas et le mouvement étudiant n'obtiendrait pas la gratuité.

Qu'il ait dit cela ou pas n'a rien à voir avec le fait qu'il s'agit là d'une opinion relativement éclairée, quoique légèrement cynique.

Ceci étant dit, la grève générale illimitée de 1968 portait sur une vision qui allait beaucoup plus loin que la gratuité scolaire. As-tu lu des textes de l'époque? Le cadre de revendications? Ah, l'impossible. Pendant que certains l'énoncent, d'autres le réalisent...

Par ailleurs, comme la réalité l'exige, ces individus défendent la gratuité tout en étant incapables de défendre leur opinion politique intégrale dans le cadre des travaux du comité. De ce fait, ils transforment la gratuité scolaire en dogme.

La réalité? Quelles sont ces mesures que vous définissez comme la "réalité" coercitive ici?

De plus, vous pourriez largement élaborer sur ce passage, en général. Cela mérite de bonnes explications.

Pour ce qui est de la gratuité scolaire comme un dogme, c'est divertissant. À voir avec quelle véhémence et quel aplomb vous agitez la "réalité pragmatique" pour justifier vos idées, j'aurais envie de dire que vous venez tout juste d'ériger la "réalité" en bien plus grand dogme. Mais ce serait dévier vers un débat... ma foi... très loin du cadre de mobilisation de l'UdeM.

Cela est une idée tout autant farfelue que la gratuité n'a jamais constitué la revendication principale d'une grève générale illimitée dans l'histoire du mouvement étudiant québécois, bien que le principe ait été constamment défendu par des organisations nationales étudiantes.

"Principale"' je ne saurais trop dire. C'est largement relatif, subjectif. La grève lancée par le MDE et des indés en 1996 mettait de l'avant la gratuité scolaire. La grève de 2005 parlait beaucoup de gratuité scolaire. La grève de 68 allait plus loin. Celle de 2007, bien que ratée, a ramené sur le tapis la gratuité scolaire aussi.

En somme? L'impossible est réalisable. Mais vous semblez manquer de relief. Toujours l'immédiat politique. N'allons pas plus loin. N'imaginons rien. Défendre médiocrement de bien pâles idéaux...

Quant à l'article suggéré par Eponyme, le style de l'article allait clairement contre l'idée adoptée par le comité que le buletin devait se faire de sorte qu'on cesse d'être associé à des gauchistes finis.

L'esthétique avant la vérité. Que dirait la droite si jamais nous nous affichions comme gauchistes?

Le comité a tout de même adopté un nouvel article qui avait pour objectif, dans des mots moins agressifs, de démontrer que le dégel était une politique économique de droite, ce qui était le principal propos de l'article initial d'Eponyme qui était à cette époque à San Francisco.

Il est vrai que les mots agressent et choquent. Il est beaucoup plus réconfortant d'utiliser des sens communs et de présenter une gauche pacifique, adoucie, conciliatrice. Cela nous a tellement bien réussi ces vingt-cinq dernières années. Cela a tellement bien réussi historiquement, de par le passé...

En plus, qu'est-ce que sa location géographique a à voir avec le reste?

L'opinion que je défends a été accepté par le comité qui s'est, au fur et à mesure des mois, aggrandi.

Dois-je y lire que tu as su faire adopter ta position par le comité et qu'il s'est ensuite élargi, sans que les positions soient remises en question par les nouveaux, nouvelles? Connaissais-tu ces gens?

Il était évident que la position dogmatique des premiers membres sur la gratuité scolaire n'était pas pour tenir à une popularisation du comité de mobilisation à l'Université de Montréal.

Si des gens en Économie désirent vous joindre, allez-vous opter pour une position en faveur de l'indexation, afin de vous adapter aux positions des plus récents ajouts? Et s'ils parviennent à la faire passer de manière "démocratique"? Ou dois-je comprendre que les positions sont maintenant coulées dans le roc?



Le compromis. Toujours le compromis.
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Messagede Antoine le Lun Fév 04, 2008 8:33 am

Personnellement,

Je trouve que le compromis du comité de Mobilisation de l'UdM me rejoint beaucoup plus que les véilités des anarchistes et ceux qui essayent toujours de promouvoir un discours en rupture totale avec le système. Le discours du petit révolutionnaire de salon ne pogne tout simplement pas et discridite le mouvement étudiant en générale dès que des idéologuqes en herbe tentent d'imposer leurs visions minoritaires.
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Messagede Adam P. le Lun Fév 04, 2008 9:50 am

Il est où le discours de révollutinaire de salon? À ce que je sache, demandez la gratuité scolaire c'est tout simplement réformiste. Puis sinon, entre dire contre le dégel et pour l'abolition des frais affhérents et la gratuité scolaire la ligne devient mince, mais bon.
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