Voilà la méthodologie selon l'agence internationale pour la corruption:
A short methodological note
Transparency International Corruption Perceptions Index (CPI) 2007
1. The CPI gathers data from sources that span the last two years (for the CPI 2007, this
includes surveys from 2007 and 2006).
2. The CPI 2007 is calculated using data from 14 sources originated from 12 independent
institutions. All sources measure the overall extent of corruption (frequency and/or
size of bribes) in the public and political sectors and all sources provide a ranking of
countries, i.e., include an assessment of multiple countries.
3. For CPI sources that are surveys, and where multiple years of the same survey are
available, data for the last two years are included to provide a smoothing effect.
4. For sources that are scores provided by experts (risk agencies/country analysts), only
the most recent iteration of the assessment is included, as these scores are generally
peer reviewed and change very little from year to year.
5. Evaluation of the extent of corruption in countries is done by country experts, non
resident and residents (in the CPI 2007, this consists of the following sources: ADB,
AFDB, BTI, CPIA, EIU, FH, MIG, UNECA and GI); and resident business leaders
evaluating their own country (in the CPI 2007, this consists of the following sources:
IMD, PERC, and WEF).
6. To determine the mean value for a country, standardisation is carried out via a
matching percentiles technique. This uses the ranks of countries reported by each
individual source. This method is useful for combining sources that have a different
distribution. While there is some information loss in this technique, it allows all
reported scores to remain within the bounds of the CPI, that is to say, to remain
between 0 and 10.
7. A beta-transformation is then performed on scores. This increases the standard
deviation among all countries included in the CPI and avoids the process by which the
matching percentiles technique results in a smaller standard deviation from year to
year.
8. Next, all values for a country are averaged, to determine a country's score.
9. The CPI score and rank are accompanied by the number of sources, high-low range,
standard deviation and confidence range for each country.
10. The confidence range is determined by a bootstrap (non-parametric) methodology,
which allows inferences to be drawn on the underlying precision of the results. A 90%
confidence range is then established, where there is 5% probability that the value is
below and 5% probability that the value is above this confidence range.
11. Research shows that the unbiased coverage probability for the confidence range is
lower than its nominal value of 90%. The accuracy of the confidence interval
estimates increases with a growing number of sources: for 3 sources, 65.3%; for 4
sources, 73.6%; for 5 sources, 78.4%; for 6 sources, 80.2%; and for 7 sources, 81.8%.
the coalition against corruption
http://www.transparency.org
Alt Moabit 96,
10559 Berlin, Germany
Tel: +49-30-3438 2045/19
Fax: +49-30-3470 3912
Additional technical information:
Prof. Dr Johann Graf Lambsdorff
Passau University, Germany
Tel: +49 851 509 2551
jlambsd@uni-passau.de
NOTE: All materials are embargoed until 26 September at 11:00 Berlin time,
which is 10:00 London time and 9:00 GMT
Last updated 16.10.2006
12. The overall reliability of data is demonstrated in the high correlation between sources.
In this regard, Pearson's and Kendall's rank correlations have been performed, which
provided average results of .77 and .62 respectively.
Source:
http://www.transparency.org/policy_rese ... ethodology
Et voici pour la liberté de presse selon Reporters sans frontière:
Note méthodologique
Le classement de Reporters sans frontières permet de mesurer l’état de la liberté de la presse dans le monde. Il reflète le degré de liberté dont bénéficient les journalistes et les médias de chaque pays et les moyens mis en œuvre par les Etats pour respecter et faire respecter cette liberté.
Dans le tableau final, une note et une position sont attribuées à chaque pays. Ces deux éléments sont des indicateurs complémentaires permettant d’apprécier l’état de la liberté de la presse dans un pays. D’une année sur l’autre, un pays peut changer de position sans voir sa note modifiée. L’inverse est également vrai.
C’est une photographie de la situation à une période donnée. Il tient compte des événements survenus entre le 1er septembre 2006 et le 1er septembre 2007. Il ne prend pas en compte l’ensemble des violations des droits de l’homme, mais uniquement les atteintes à la liberté de la presse.
Afin d’établir ce classement, Reporters sans frontières a réalisé un questionnaire reprenant les principaux critères - 50 au total - permettant d’évaluer la situation de la liberté de la presse dans un pays donné. Ce questionnaire recense l’ensemble des atteintes directes contre des journalistes (assassinats, emprisonnements, agressions, menaces, etc.) ou contre des médias (censures, saisies, perquisitions, pressions, etc.). Il note le degré d’impunité dont bénéficient les auteurs de ces violations de la liberté de la presse.
Il mesure également l’autocensure existant dans chaque pays et évalue la capacité de critique et d’investigation de la presse. Les pressions économiques - de plus en plus nombreuses - sont relevées et intégrées à la note finale.
Ce questionnaire prend en compte le cadre juridique régissant le secteur des médias (sanction des délits de presse, monopole de l’Etat dans certains domaines, régulation des médias, etc.) et le niveau d’indépendance des médias publics. Il incorpore aussi les atteintes à la liberté de circulation de l’information sur Internet.
Reporters sans frontières n’a pas seulement tenu compte des exactions dues à l’Etat mais aussi de celles de milices armées, d’organisations clandestines ou de groupes de pression.
Ce questionnaire a été adressé aux organisations partenaires de Reporters sans frontières (15 associations de défense de la liberté d’expression dispersées sur les cinq continents), à son réseau de 130 correspondants, à des journalistes, des chercheurs, des juristes ou des militants des droits de l’homme. Un barème établi par Reporters sans frontières a ensuite permis d’attribuer une note à chaque questionnaire.
Les 169 pays classés sont ceux pour lesquels Reporters sans frontières a reçu des questionnaires remplis par différentes sources. D’autres n’y figurent pas par manque d’informations fiables et étayées. En cas d’égalité entre plusieurs pays, l’ordre alphabétique prévaut.
Enfin, en aucun cas, ce travail ne saurait être pris pour un indicateur de la qualité de la presse.
Source :
http://www.rsf.org/article.php3?id_article=24017
En espérant que ceci éclaircira ta lantenne