Perte de session...et alors ?

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Re: Perte de session...et alors ?

Messagede Charcute le Mer Avr 02, 2008 2:09 pm

Tant qu'à jouer l'avocat du diable allons-y à fond la caisse. Si certains n'ont pas peur de perdre leur session ou un an, vous devriez garder votre argent plutôt que de le donner à l'UQAM en retour de rien et l'investir dans un plan afin d'obtenir votre gratuité scolaire.

Pour celui qui capote parce que certains veulent avoir terminer leurs études pour avoir dans un premier temps de l'argent et avancement dans une entreprise qui "exploite" des gens, faut avoir la mentalité d'un cégepien qui ne comprend rien au monde dans lequel il vit. Pour avoir broyer du noir toute ma jeunesse (ma mère ne gagnait pas plus de 10 000$ avec 3 enfants) Tu ne peux surement pas comprendre ce que la sécurité financière peut apporter comme ambiance dans une famille contre une fammile qui a des problème d'argent. Tu confonds matérialisme et sécurité financière, deux choses totalement différentes dans l'optique ou un bris mécanique d'une voiture est plus facile à avaler si tu as de l'Argent de côté que si une famille n'a rien et dois faire des compromis qui entre en conflit avec la qualité de vie.
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Re: Perte de session...et alors ?

Messagede Kapitaine_Kolon le Mer Avr 02, 2008 4:26 pm

Charcute a écrit:faut avoir la mentalité d'un cégepien qui ne comprend rien au monde dans lequel il vit. Pour avoir broyer du noir toute ma jeunesse (ma mère ne gagnait pas plus de 10 000$ avec 3 enfants) Tu ne peux surement pas comprendre ce que la sécurité financière peut apporter comme ambiance dans une famille contre une fammile qui a des problème d'argent.


Je ne pense pas que tou-te-s les cégépien-ne-s et les universitaires qui sont contre la grève viennent d'une famille qui habite à 75 dans une boîte à chaussures au milieu de la route... Ta façon de présenter le problème impliquerait que les anti-grève sont des pauvres qui ne souhaitent qu'améliorer leurs conditions d'existence, tandis que les pro- seraient des gosses de riche qui n'ont rien à perdre. Je sais que tu joues à l'avocat du Diable, mais ton exemple est extrêmement simpliste. Il y a différentes raisons d'être pour ou contre la grève, et la précarité de nos conditions d'existence peut être invoquée comme raison aussi bien d'un côté que de l'autre.
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