Rencontre au bureau de François Desrochers
Posté: Ven Nov 16, 2007 7:24 pmAujourd'hui, en cette journée d'actions régionales et de perturbations économiques, quelques membres des associations de Lionel-Groulx, St-Jérôme et Terrebonne, seize en tout, ont obtenu une rencontre avec François Desrochers.
Pour une meilleure compréhension; Il est porte-parole de l'opposition oficielle en matière d'éducation (donc membre de l'Action démocratique de Mario Dumont). Il est aussi le député de la circonscription de Mirabel.
10h J'arrive au collège Lionel-Groulx et l'autobus (qui partait de Terrebonne pour venir nous chercher et allait nous transporter chez monsieur le député) est surveillé et inspecté par deux ou trois policiers.
10h30 Nous décidons quand même de partir, notre plan premier étant de le rencontrer et d'apposer plusiers carrés rouges dans son bureau. (On a oublié temporairement la deuxième partie)
11h On arrive à son bureau. Dehors, un policier nous demande qui est le responsable pour qu'il puisse le rencontrer. Je m'avance donc (même si techniquement, c'est pas mal toujours très "garroché" comme organisation à Lionel-Groulx) et il me demande de ne pas faire de grabuge parce qu'il ne veut pas avoir à intervenir. Coomme si tout les étudiantEs étaient des fauteurs de troubles. Arrivé à sa porte un autre policier, cette fois-ci de la S.Q. nous demande ce que nous voulons faire. Finalement s'en ressort que seule la moitié de la délégation peut rencontrer monsier Desrochers.
La rencontre s'est très bien déroulé, on aurait dit qu'il avait oublié qu'il faisait parti de l'Action Démocratique, il était très souvent d'accord avec nos points. À propos de la loi 142, il a dit qu'il essairait de l'ammender lors des prochains travaux parlementaires, pour ainsi redonner aux professeurs le droit à la grève. Néanmoins, on sait ce que vaut la parole d'un politicien. Il estimait l'argent à investir en éducation à deux milliards. Il jugeait que le sous-financement était inacceptable.
À la fin de la rencontre, je lui ai fait un cadeau. Je lui ai donné mon carré rouge. SURPRISE, il l'a porté!!! l'autre cadeau fut laissé par un autre membre; Un grand carré rouge fut taqué sur son mur au premier étage.
Le tout fut terminé par des félicitations pour tout ce que nous faisons et par une belle phrase de son attaché de presse; "Oui, et moi je paie encore mes droits de scolarité!"
Pour une meilleure compréhension; Il est porte-parole de l'opposition oficielle en matière d'éducation (donc membre de l'Action démocratique de Mario Dumont). Il est aussi le député de la circonscription de Mirabel.
10h J'arrive au collège Lionel-Groulx et l'autobus (qui partait de Terrebonne pour venir nous chercher et allait nous transporter chez monsieur le député) est surveillé et inspecté par deux ou trois policiers.
10h30 Nous décidons quand même de partir, notre plan premier étant de le rencontrer et d'apposer plusiers carrés rouges dans son bureau. (On a oublié temporairement la deuxième partie)
11h On arrive à son bureau. Dehors, un policier nous demande qui est le responsable pour qu'il puisse le rencontrer. Je m'avance donc (même si techniquement, c'est pas mal toujours très "garroché" comme organisation à Lionel-Groulx) et il me demande de ne pas faire de grabuge parce qu'il ne veut pas avoir à intervenir. Coomme si tout les étudiantEs étaient des fauteurs de troubles. Arrivé à sa porte un autre policier, cette fois-ci de la S.Q. nous demande ce que nous voulons faire. Finalement s'en ressort que seule la moitié de la délégation peut rencontrer monsier Desrochers.
La rencontre s'est très bien déroulé, on aurait dit qu'il avait oublié qu'il faisait parti de l'Action Démocratique, il était très souvent d'accord avec nos points. À propos de la loi 142, il a dit qu'il essairait de l'ammender lors des prochains travaux parlementaires, pour ainsi redonner aux professeurs le droit à la grève. Néanmoins, on sait ce que vaut la parole d'un politicien. Il estimait l'argent à investir en éducation à deux milliards. Il jugeait que le sous-financement était inacceptable.
À la fin de la rencontre, je lui ai fait un cadeau. Je lui ai donné mon carré rouge. SURPRISE, il l'a porté!!! l'autre cadeau fut laissé par un autre membre; Un grand carré rouge fut taqué sur son mur au premier étage.
Le tout fut terminé par des félicitations pour tout ce que nous faisons et par une belle phrase de son attaché de presse; "Oui, et moi je paie encore mes droits de scolarité!"