Posté le: Ven Déc 23, 2005 1:37 pm Sujet du message: le Jihad australien
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La vérité sur les émeutes raciales en Australie
Un jeune australien lance aux journalistes « nos femmes ont été menacées d'
être violées parce qu'elles portent des bikinis. Ces personnes essayent d'
arrêter notre façon de vivre. »
5,000 habitants, principalement, des jeunes, du comté de Cronulla au bord
des plages de Sydney - on est actuellement là bas en plein période estivale,
hémisphère sud oblige - ont décidé de « reprendre la plage » et le week end
fut marqué par des scènes d'une rare violence où les « aussies » ont décidé
de chasser les « touristes » et autres immigrés musulmans qui chaque année
sont plus nombreux sur les côtes.
La colère vient de loin, et est montée doucement.
Ces plages étaient le symbole de l'art de vive australien???!. Jolies
filles, surf sur les vagues, veillées et barbecues nocturnes sur les
immenses plages de sable blanc où flottaient des airs de rock australien.
Presque une image idyllique du paradis.
Mais voilà, depuis ces dernières années, l'immigration musulmane se
renforçant, amplifié chaque année par un tourisme venant des pays arabes en
constante progression, l'ambiance a progressivement changé. L'insécurité a
explosé et les habitants des villages paradisiaques de la côte australienne
ont du prendre l'habitude de fermer portes et voitures à clé, où avant
chacun se sentait en confiance. Les agressions contre les filles ont
augmenté, et au delà c'est une attitude générale vis à vis des australiennes
qui s'est imposé.
D'un côté des protestations de touristes ou d'immigrés musulmans contre leur
« indécence » - la culture très libérale des Australiennes les a depuis
longtemps dévêtu à la brésilienne ! - de l'autre au contraire de jeunes
mâles musulmans confondant un peu vite liberté des moeurs et prostitution,
et qui croient pouvoir disposer des femmes comme dans une maison close. Les
viols se sont notablement multipliés sur des plages australiennes où il y a
encore 10 ans on pouvait encore se promener nue sur une plage en pleine nuit
au milieu des groupes de jeunes sans risquer autre chose de que tomber
amoureux !
Bien sûr il y eut bien parfois des crimes, des viols, des vols, mais chaque
fois des actes très isolés et finalement plutôt rares vu la densité de
population chaque année sur les plages de Sydney, haut lieu du touriste
estival dans l'hémisphère sud.
Depuis 2002 les choses ont bien changé, le terrorisme a frappé Bali, et le
tourisme musulman a quitté l'Indonésie pour les plages
australiennes,changeant profondément l'ambiance des plages qui sont en
Australie, plus qu'un lieu de vacances, une culture ! D'autant que ces
dernières années, la communauté musulmane, plutôt discrète et
démographiquement faible, s'est nettement radicalisée. Comme en Europe, les
musulmans australiens se font revêches à l'intégration, revendiquent des
droits particuliers, s'en prennent au mode de vie des australiens, etc.
Mais surtout l'Australie lutte depuis plusieurs années contre un terrorisme
bien spécial, "le jihad sexuel". Les jeunes musulmans ont fait du viol une
arme de guerre islamiste. Le principe est simple, violer des australiennes
pour répandre le jihad ! Le pays s'est réveillée un matin en trouvant dans
la presse le résultat d'une enquête de trois ans menée par une journaliste
australienne aujourd'hui menacée par les islamistes.
Le cumul de plusieurs agressions successives de musulmans contre des filles
« aussies », dont une tentative de viol, et finalement la semaine dernière
un viol, un surfeur agressé, enfin deux secouristes de plage molestés, aura
fait déborder la colère des australiens.
Pendant tout le week-end, de SMS en emails sur les bornes wifi des plages,
les australiens vont obéir à un mot do'rdre simple et spontané : « reprendre
la plage ». Mais c'est surtout le nombre qui a stupéfait les autorités, plus
de 5,000 jeunes aussies se ruant sur les plages pour en chasser les
musulmans. Plus de peurs que de mal, au plus quelques bonnes raclées bien
méritées, et la finalement le départ d'un bon nombre de touristes musulmans
sous protection policière. Quelques discours politiquement correct à la télé
d'un commissaire de police bien pensant et de politiciens partisans de la
dhimmitude, mais peu importe, les plages australiennes sont bien redevenues
australiennes depuis ce week-end.
Cette révolte spontanée des « aussies » montre qu'en Australie, où le mois
dernier deux ministres n'avaient pas eu peur de dire aux musulmans que « si
le mode de vie australien ne leur convenait pas, ils pouvaient partir », la
résistance populaire n'est pas un vain mot. Et on ne peut que s'en réjouir,
le syndrome français ne dhimmitude n'est pas une fatalité !
Jihad "sexuel" en Australie*
Ils sélectionnent très soigneusement leurs victimes, uniquement des blanches
australiennes, de préférence très jeunes et dont la vulnérabilité permet d'
imposer un régime de terreur dans lequel elles deviennent les véritables
"esclaves sexuelles" de leurs agresseurs. Les viols collectifs sont
particulièrement sordides et cruels, ainsi une jeune fille de 15 ans, en
août 2000 a été violée 25 fois par 14 garçons, y compris les deux frères
Bilal et Mohammed Skaf, pendant 6 heures d'affilée où elle subira les pires
violences.
Pendant les viols, là aussi filmés, les coups et les insultes pleuvent,
toutes à caractère racistes. Une jeune fille de 17 ans témoignera devant la
cours rapportant les propos des violeurs: "tu le mérites parce que t'es
austalienne". Aux insultes ordinaires ("salopes, putains".) s'ajoutent les
injures racistes, "chiennes blanches", "mécréantes", "sales chrétiennes",
"décadentes occidentales".
Le scénario était ensuite toujours le même, les filles étaient immédiatement
menacées, forcées de boire de l'alcool jusqu'à l'ivresse puis violées,
toujours de manière très violente, les psychiatres soulignant le caractère
sadique des viols après visionnages des bandes vidéo que les agresseurs
enregistraient et classaient minutieusement.
Ensuite la terreur s'établissait pour que les filles se taisent, et puissent
rester "à la disposition" des 5 frères qui pouvaient ainsi les faire revenir
pour de nouveau leur faire subir leurs assauts.
L'un des frères avaient trouvé un 'moyen' de coercition efficace pour
terroriser les filles, ils prétendaient avoir séjourné en Iraq, y avoir
violer des filles, les avoir étranglé puis pendu au balcon de leurs propres
maisons.
Les associations de gauche, mais aussi des chroniqueurs de droite d'abord
soucieux "d'apaiser" les tensions inter-communautaires exacerbées par les
attentats du 11 septembre puis ceux de Bali en 2002, "dénoncent" Janet
Albrechtsen et le quotidien 'The Australian" qu'ils accusent "d'amalgames",
de tentative de "criminaliser" l'islam, de semer la "haine raciale"'.
L'affaire est écrasée par les propos indignés des élites bien pensantes
australiennes qui préfèrent ne voir dans ces affaires, que des faits divers
à caractère purement sexuel, reléguant leur traitement au rang de viols
individuels ou collectifs ordinaires", certes durement condamnés, mais sans
prise en compte d'un contexte politique et religieux pourtant avéré. Tout
juste sera-t-il concédé le caractère "misogyne" des criminels
Des preuves accablantes en. Europe
Les auteurs français et danois, Jean Jacques Rassial de l'Université
villetaneuse et Flemming Balvig de l'université de Copenhague, iront jusqu'à
critiquer la récupération par Janet Albrechtsen de leurs études générales
sur le viol en Europe dont les conclusions sont sans appel, et montrent une
implication exponentielle des musulmans parmi les auteurs de viols
collectifs, auxquels on donnera même un nom "particulier" pour les décrire
en France, les "tournantes".
Les résultats de leurs enquêtes sociologiques, qu'ils peuvent difficilement
contester sont claires: au Danemark où les enquêtes de ce type peuvent
cerner des profils ethniques et religieux comme éléments d'études
statistiques, y compris par la police, contrairement à la France où cela est
interdit par la loi, montrent qu'en 2003 pour une proportion de 7,4% de
musulmans dans la population totale du Danemark, cette proportion atteint
76,5% des détenus du pays pour crimes sexuels.
Dans l'ensemble de l'Europe, on estime d'ailleurs ces chiffres dans des
proportions proches, tant dans les pays où les chiffres sont connus que dans
ceux, comme la France, où leur divulgation est interdite par les lois contre
la discrimination raciale ou religieuse. Mais en France le phénomène est
néanmoins suffisamment "reconnu" pour faire l'objet d'études particulières,
ainsi celle de Jean jacques Rassial, qui bien que se défendant de vouloir
impliquer dans sa réflexion une connexion entre le contexte "ethnique ou
culturelle" et les "tournantes", les décrit comme des rites de passage des
jeunes hommes des banlieues parisiennes, que le film "la squale" projettera
d'ailleurs en évoquant explicitement les tournantes dont sont victimes des
adolescentes blanches de la part de jeunes maghrébins dans les cités.
Mais malgré leurs critiques vis à vis de Janet Albrechtsen, ni l'un, ni l'
autre, ne contestera les résultats de leurs études montrant une massive et
indiscutable "sur-représentation" des musulmans chez les auteurs de viols
collectifs, dont Rassial dira qu'ils constituent un "rite d'initiation"
portant en lui même une démonstration accablante, à laquelle les affaires
australiennes donnent simplement un caractère simplement plus explicite.
La vérité finit toujours par sortir
Les premières condamnations sont tombées pour les 5 frères pakistanais, et d
'autres suivront, qui se cumuleront et dépasseront probablement plusieurs
décennies d'emprisonnement. Mais surtout cette affaire a des airs de "retour
de bâton" pour les élites australiennes, les associations musulmanes et
antiracistes, ainsi que pour la presse de gauche et certains chroniqueurs
conservateurs qui avaient préféré désavouer Janet Albrechtsen plutôt que de
sortir de leur aveuglement.
La vérité finissant toujours par sortir, c'est au détour d'un nouveau et
sordide fait divers que les media et les autorités avaient tenté d'étouffer
et qui a fini par se révéler au grand public ces derniers jours, que les
australiens prennent conscience progressivement de la gravité et de la
portée de ce qu'ils ne considéraient que comme des faits divers
certessordides, mais relevant "banalement" d'affaires de moeurs, ce qu'ils
ne sont clairement pas.
C'est bien une autre forme de "terrorisme" à laquelle l'Australie est
confrontée.
Sources : The Australian, SMH, New York Post, ABC, Guardian, Fox