Je refuse de répondre à ce poème qui existait avant même l'idée de ce duel.
Tiens, parlons-en de l'art. Von Mises et consorts, à force de tout vouloir simplifié dans leur approche méthodologique douteuse basée sur une conception naze de la praxéologie, ressemblent à de l'art naïf... Ou mieux encore, à du Mondrian et à sa manie de simplification extrême. Alors que la dialectique, elle, permet de créer des oeuvres théoriques, raffinées et complexes digne de l'art Baroque ou de la Renaissance.
Ô muses ineffables, soyez obligeantes et fournissez à votre serviteur l'inspiration propre à narrer les faictz trèsillustres du punique Von Mises (enfin presque).
Barocque ou Renaissant, j’en seroy estonné.
Tan l’élégance atticque, ilz piestinent, foulent aux piedz.
Du rococo, sans doute, ilz en ont l’impossible
Mais bouffi d’horrificque et fate sévérité
Le Viennois, Me ès lard, mirifique, impavide
Au rebours d’iceulx sotz, finement a observé
L’entreprise anthropique, les lois catallactiques
Xaιρε ω θεου ρηθωρ! Ô Bonus Dominus.
Anarchie et réaction.