Je me disais: "Tiens Phil, à soir on va prendre ça relax". Mais à toutes les 5 minutes me revenaient en tête des petits bouts de phrase enrageantes... À quoi bon une 'tite soirée tranquille quand la rage nous ronge. Ou plutôt la détresse. Celle d'un homme qui en a marre d'entendre les discours haineux camouflés de cette bonne vieille idéologie masculiniste. Pour me défouler, au lieu de sacrer une claque à la femme de mon coeur, ce qui serait, je vous le rappelle, la réponse logique à ma détresse due au féminisme, je vous propose une déconstruction de ce discours clairement masculiniste. Procédons dans l'ordre. Et je vous avertis, ça risque d'être long. Le tout commence par
Loin de moi de dire que les revendications féministe ne sont pas légitime. Mais, est-il possible de passer à une autre étape?
Hum. Subtil n'est-ce pas? D'abord, on nous flatte dans le sens du poil. Puis un grand classique , le "mais", comme dans "je ne suis pas raciste mais..."
Poursuivons.
Par exemple : J'ai assisté à la création de la loi (par le Partie Québécois) de la discrimination inversé, en résumé cette loi permettait à des gens, dont les femmes, qui autrement auraient été discriminé à l'accès d'une poste, un emploi ou un cours, de prévaloire sur les jeunes hommes blancs... Au début cela semblait allé comme sur des roulettes, mais... Maintenant de jeunes hommes qui n'ont rien avoir avec les décision sexiste des années antérieur à 1980 on beau faire des efforts, ne parviennent pas à faire renversé une décision qui les désavantage nettement par rapport à d'autre groupe de la société...
Notons le grand retour du "mais". Ensuite, le décalage entre les années 1980 et avant. Qu'est-ce qui a changé entre les deux, on ne le mentionne pas. Tout ce que l'on sait c'est qu'il semble qu'avant, la discrimination positive (parce que c'est comme ça que ça s'appelle) était fondée mais ne l'est plus et que, maintenant, les jeunes hommes blancs sont désavantagés et ce sans preuve à l'appui. Il n'y a aucune mention que les hommes blancs ont encore le dessus en termes sociaux économiques (plus gros salaires, plus de chances d'être embauchés, contrôlent la plupart des sphères de pouvoir, etc.) comparativement aux femmes en général et aux minorités visibles, sans parler des femmes de minorités visibles. Il y a eu du progrès entre "avant" les années 1980 et aujourd'hui, je l'admets, mais la réalité avantage encore les hommes blancs contrairement à ce que certains (oui c'est volontaire) veulent nous faire croire, c'est-à-dire "qu'il est temps de passer à une autre étape" puisque les acquis du féminisme font en sorte que les jeunes hommes blancs sont "désavantagés".
Poursuivons.
Hors on assiste à un grand nombre, de plus en plus croissant, de décrochage et d'échec scolaire chez les jeunes garçon... La désertion des cégep et université par les jeunes hommes, surtout dans des domaines autrefois privilégié pour eux comme les lois et la médecine.
À première vue, on pourait croire que ces deux affirmations sont vraies. En ce qui concerne la première, je tape "décrochage scolaire Québec" dans google et je trouve ce site
http://www.perseverancescolairemontreal ... ecart.htmloù je trouve ceci
"En 2000-2001, 25% des garçons étaient en situation de retard scolaire à la fin du primaire, comparativement à 17,8% des filles,
phénomène qui se maintient depuis 35 ans."
"Parmi l’ensemble des garçons ayant quitté l’école secondaire en 2000-2001, 31,0% n’avaient pas obtenu leur diplôme, alors que la proportion était de 18,5% chez les filles."
"Alors que les filles des milieux populaires perçoivent plus spontanément la réussite scolaire comme la clé qui leur ouvrira des portes et leur permettra de mener une vie professionnelle gratifiante et une vie familiale sur laquelle elles auront plus de prise,
les garçons de ces mêmes milieux se rabattent sur les prérogatives que leur assure leur masculinité."
"Malgré leur propension moins grande à l’abandon, trop nombreuses sont les filles qui quittent l’école pour la vie d’adulte. Pour plusieurs, la
maternité leur procurera un statut social qui deviendra lourd à porter sans diplôme. De plus,
les conséquences du décrochage scolaire sont globalement plus problématiques pour les femmes, sur le marché du travail."
Bon, on pourrait poursuivre mais je n'ai pas 10 heures à mettre. Notons seulement que des masculinistes se retrouvent dans les médias (Doc Mailloux, ça vous dit quelque chose?) et colportent l'idée selon laquelle l'écart hommes/femmes se creuse de plus en plus au primaire et au secondaire alors qu'il semble plutôt que ce soit une tendance de longue date, du moins aussi longue que l'accès égal à l'école. Ensuite, l'écart hommes/femmes dans le décrochage existe bel et bien mais pas pour les raisons que l'on nous suggère. De plus, il semble que s'accrocher à sa masculinité mène à décrocher parce qu'aller à l'école et réussir ce n'est pas "gars". C'est certainement la faute du féminisme... Finalement, décrocher à plus d'impact pour une femme qui a vraisemblablement plus de difficulté à se trouver du travail, d'autant plus si elle est mère.
En ce qui concerne la seconde affirmation, je dirais qu'il est vrai que de plus en plus de femmes vont dans de telles branches, que c'est effectivement en partie dû au féminisme, et que c'est tant mieux qu'il y aie moins de lieux privilégiés pour les hommes. C'est ce qu'implique l'égalité. Toutefois, je ne doute pas iune seconde qu'il y aie plus d'hommes qui percent dans ces domaines et s'arrogent les postes de pouvoir que de femmes, même si parfois ils sont moins nombreux à les étudier.
Poursuivons.
On assiste aussi à une sorte de psychose générale a ce qui est du comportement d'un garçon envers d'une fille... Du coup, les hommes sont de moins en moins enclin à faire des pas envers elles, tenue par la peur.
Bien qu'on l'entende de plus en plus celle-là, je ne sais pas d'où ça sort. Franchement, que les femmes tiennent davantage tête aux hommes, qu'elles s'attendent en nombre de plus en plus restreint à trouver le prince charmant pourvoyeur et dominant, que les tactiques testostéronées du genre "T'es pas mal cute, j'ai envie de coucher avec toi" marchent de moins en moins, voilà qui m'apparaissent être des pas dans la bonne directions. Dire que c'est une "psychose générale", c'est peut-être réconfortant pour s'expliquer les échecs de cruise mais ça n'apporte pas grand chose. Quant à la supposée peur, peut-être vaudrait-il mieux se concentrer sur pourquoi certains comportements "masculins" sont mal perçus et voir à changer son attitude macho et sans respect envers les femmes plus que les accuser (attention, c'est très crû) de ne pas écarter les cuisses selon votre bon vouloir de mâle dominant. S'il s'agit de la peur de l'échec, vaut mieux s'y faire parce que si on s'empêche toujours de faire des trucs par crainte de l'échec, on n'avance pas trop dans la vie.
Poursuivons.
D'autres arrive à la violence lors de rupture ou tout simplement parce qu'ils n'arrivent pas à approcher les femmes... Par peur...
Bon, là c'est le boutte de la marde. C'est la faute du féminimse ça? Ça a toujours été vrai que des hommes ont tendance à recourir à la violence lors de ruptures, c'est d'ailleurs pourquoi tant de femmes avaient peur de quitter leurs hommes auparavant et encore aujourd'hui. Pis là la peur est réelle parce que c'est leur vie qui est en jeu. Quitter un homme violent est probablement l'un des actes les plus dangereux et courageux qui soit, merde! C'est l'une des raisons principales de l'émergence du féminisme ça, l'oppression systémique qui s'exprime par la force des poings. Pis si plus d'hommes sont condamnés pour ces actes, c'est seulement parce que l'on considère de moins en moins les femmes qui dénoncent comme étant des hystériques. Ça, c'est l'un des plus grands gains du féminisme bout de ciarge. Pis les pauv's 'tits n'hommes recourent à la violence pasqu'y z'ont peur? Comme y sont à plaindre les pauv's 'tits n'hommes, si y font ça c'est pasqu'y z'ont peur. FUCK OFF! Pas de compréhension pour ces malades, direct en prison pis en thérapie. Pis tant qu'à moi, faudrait ajouter le viol là-dedans, vous trouvez pas que ça manque? Le pauv 'tit n'homme y viole la femme pasqu'au fond, y'a peur d'elle. Faut comprendre! Tant qu'à moins, qu'on lui tchoppe s'qui faut pis qui ressorte pas de prison avant un ostie de boutte. Faut que j'me calme...
Poursuivons.
De grand décisions discriminatoires envers les hommes, les jeunes surtout on été porté à la fin des années 80...
Il faut lire ici que les hommes sont victimes du féminisme.
Du coup on retrouve aussi de plus en plus de famille monoparentale, ou de jeunes filles et garçons se retrouve sans père, sans modèle masculin.
Bon. 2 choses. D'un côté, l'émergence de la famille monoparentale est surtout liée au fait qu'aujourd'hui les femmes ont moins peur de quitter leurs hommes quand elles se trouvent en cas de violence conjugale ou d'adultère ou d'inceste, phénomène encore aujourd'hui beaucoup plus masculin que féminin. D'autre part, c'est surtout lié à la plus faible emprise de l'église et au dogme de la sacro-sainte famille qui fallait don rester ensemble même si fallait en souffir advitam eternam. Sans parler du fait que bon nombre de couples se quittent d'un commun accord. Si c'est ça le modèle masculin, celui de la violence, du viol, de l'inceste, qu'il disparaisse donc une fois pour toute et ce pour le bien des enfants et de leurs mère!
Chez les fille cela apporte le sentiment de distance envers le modèle masculin et chez le garçon l'incompréhension de ce qu'il est en tant qu'homme...
Pour la fille, celui de soumission et de souffrance et pour le garçon celui de dominant violent et non repentant. C'est quoi sinon qu'il faut lire dans ce texte comme rôle de l'homme?
La recherche d'identité, la solitude, la sexualité, les sentiment, l'abandons, le manque de repères, la difficulté à s'intégré, la difficulté à obtenir un diplôme, la difficulté à se faire reconnaitre... Etc... Sont tous des éléments qui commence sérieusement à être un fardeaux pour les jeunes hommes d'aujourd'hui...
J'avoue que les sentiments, c'est vraiment un problème qu'il faut régler... Notons que cette description nous vise tous en tant qu'hommes, puisque c'est un sérieux fardeau (wtf) généralisé et qui nous affecte manifestement tous... Et que dire de la situation de la femme qui prévalait auparavant, celui de mère au foyer sans scolarité au travail non reconnu et maintenue dans l'ignorance par son mari ou encore celui de la double tâche de mère qui torche les enfants et son homme tout en travaillant 40 heures semaines comme secrétaires alors que tous les boss sont des hommes, modèles qui existent encore aujourd'hui... Faudrait vraiment que le féminisme arrête, écoutez, il cause tellement de souffrances.
Poursuivons.
Hors le féminisme le recconait-il? Se porte t'il réelement à la défence de ceux qui sont ou se sentent exclus du nouveau monde qui est en train de ce tracer? Celui que le puissant et très politisé mouvement féminisme à contribué à créer?
Ça, c'est si typique du masculisme que c'en est pathétique. Le très puissant mouvement féministe au pouvoir mythique qui exclu les hommes. Wow. C'est magique. Alors qu'aujourd'hui encore l'équité salariale n'est toujours pas une réalité. Au moins, il est écrit que ce monde n'est pas créé que par le féminisme, pourtant c'est ce vers quoi on pointe le doigt, comme c'est étrange... Quel peut donc être le but visé?
Par cela, les femmes sont-elles bien représenté dans leur cause? Je ne pense pas, car en bout de ligne, elles paient cher l'arrogance des institutions créé par ces révolutionaires des années 60-70.
Tiens donc. Tout au long on a droit à un plaidoyer sur la souffrance des hommes et maintenant, il semble que les femmes souffrent de leurs acquis. Notez aussi l'incohérence totale entre la deuxième phrase de cette citation et la première du texte, vous vous souvenez, "Loin de moi de dire que les revendications féministe ne sont pas légitime". On voit tout de suite que cette dernière visait à mieux faire passer son message alors qu'au fond il crache tout le long sur le féminisme et ses acquis. Notons aussi qu'aucune preuve n'est apportée pour soutenir que les femmes n'en bénificient pas, comme pour toutes les affirmations de ce texte d'ailleurs.
Poursuivons.
Enfin, ce que je dis c'est que le discours des revendications est dépassé
Insérer "Loin de moi de dire que les revendications féministe ne sont pas légitime" ici
il est temps de construire ensemble et aussi de voir ce qu'a réellement apporté cette révolution... Ça fait maintenant près de 27 ans qu'elle est bien entamé, on peut prendre un recule et en voir les réel résultat... C,est comme ça que le scientifique fait pour voir si son expérience à porté fruit... Il ne continue pas à ajouté de la solution dans le bocale jusqu'a ce qu'il déborde, il ne verra jamais dès lors le résultat, alors, à qoi bon?
Enfin, le but visé. Il faut que la "révolution" féministe s'arrête. Et c'est scientifique en plus, wow, faut le faire. Et tout son texte est scientifique aussi, évidemment, avec plein de preuves à l'appui.
Dernière chose, dites moi pourquoi que lorsque quelqu'un demande si «35 000 avortements par année au Québec ce n'est pas trop?» est-il aussitôt mis au banc des mysogine et des dinosaure? Y a t'il pas lieu à un questionnement sur le fait que l'on tombe aussi vite sur nos gardes? Pourquoi avoir peur de prendre le temps de voir?
Un autre grand classique masculiniste. Soyons softs. Parlons de compréhension. Pourquoi tomber sur nos gardes quand à mots à peine voilés on vous dit que la violence des hommes est légitime comme dans ce texte? Pourquoi refuser de voir? Et surtout de voir ce qui se trouve derrière ce discours rétrograde parfumé à la rose que l'on nous sert pour nous convaincre qu'au fond, le féminisme est allé trop loin et qu'il faut s'arrêter parce que les hommes sont menacés? C'est comme en temps de révolution: lorsque la classe dominante est acculée au pied du mur, elle a tendance à parler de tolérence et de compréhension pour éviter la potence. Moi je dis: Au poteau les mascus!
Poursuivons (parce qu'il a écrit d'autres textes mais là je ne m'arrêterai pas à tout, ça fait déjà plus d'une heure que j'écris...)
Selon moi, la meilleur option serait qu'il n'ai pas de discrimination non? Hors ce que tu dis toi c'est qu'il est préférable que les homme subise une forme d'opression plutôt que les femmes? Euh? C'est pas dangereux comme pensé ça?
Ainsi, enlever les prérogatives et privilèges des hommes, leurs outils de domination, est une oppression dangereuse.
Tu sais (je pense que tous le monde s'entends la-dessus) l'opression politique de Bush crée le térrorisme et plus il y a de terrorisme plus il y a d'opression... On est d'accord la-dessus?
S'il y a une opression envers les hommes parce que l'on considère qu'ils sont violent, ils seront plus violent... Il y aura plus d'opression... Qu'est-il plus facile à faire, changer individuellement ou collectivement?
L'augmentation de la délinquance, de la violence et crime sexuelle démontre la forme explosive qu'un homme peut prendre dans la détresse, il peut aussi implosé dans l'automultilation, l'homosexualité, le suicide, la drogue, la dépression...
Lire ici que les hommes deviennent plus violents parce que le féminisme fait des acquis. Rappelons seulement qu'en fait, les femmes dénoncent plus parce qu'elles sont moins dominées aujourd'hui. Notons aussi que c'est pratiquement une incitation à la violence envers les femmes, à mon humble avis. La dernière partie m'apparaît fort éloquente sur l'identité masculine. Tout ce qu'il nous sort là-dessus, c'est que les hommes sont violents...
Sachez que je ne ni pas les problèmes des femmes, je n,ai même pas besoin de les cité tellement qu'on nous les entre dans la tête depuis 30 ans... Je dis qu'il faut aussi penser que les hommes ont des problème et que ces problèmes naisse en partie de la remise en question globale de leur identité et des politiques qui les pourfends...
Notez ici l'incohérence avec la dernière partie de son précédent message qui se lisait comme suit: "Y a t'il pas lieu à un questionnement sur le fait que l'on tombe aussi vite sur nos gardes? Pourquoi avoir peur de prendre le temps de voir?" Au lieu de procéder à cette remise en question de "l'identité masculine" dépeinte par lui-même comme un être violent, il faut plutôt arrêter le féminisme... Ce qui ramène à l'aspect "non repentant" des tenants du masculinisme qui au fond regrettent les privilèges perdus.
La plus part des gens s'imagine que les actions féminisme se limite à l'égalité salariale et à la violence... Ce n'est pas le cas... Le féminisme est une institution très bien huilé...
Encore le pouvoir mythique du mouvement féministe, sans même parler de l'espèce d'agenda caché du féminisme qui est suggéré ici.
Lorsque l'on parle d'égalité salariale on entends quoi en générale? Même travail, même salaire? Savez-vous que plusieurs de ces combats ne concerne même pas des emplois qui auraient pu être occupée part des hommes, comment peut-on comparer les salaires avec RIEN du tout?
Comment une personne gardant des enfants, par exemple, pourrait comparer son salaire avec une personne qui fait de la mécanique? Comment peut-on comparer un emploi qui demande un secondaire 5 et un autre qui demande un BAC?
Faut-il être mieux renseigner sur les causes et combats?
Mensonges éhontés pour discréditer l'équité salariale en plus. Ça vole haut...
Non la détresse seulement, de nombreuses recherches récentes tends à démontrer qu'une détresse émotionelle et affectif très forte facilite le transfère à l'homosexualité chez les hommes, ce n'est qu'un facteur parmis d'autres, mais cela est un autre sujet.
Et là, il n'y a évidemment aucun lien à faire avec les luttes du mouvement des gais et lesbiennes qui font en sorte que les gens ont moins peur de faire leur coming out ou encore de s'éveiller à leur orientation sexuelle. Sans compter le lien assez direct fait ici entre homosexualité et maladie mentale.
Je trouve que tu saute vite sur le fait que j'ai un potentiel liens avec un groupe comme les masculiniste, hors rien de plus faux. (...)Tuer un débat de ce genre avant même qu'il n'ai lieux en me traitant de masculinisme (ce qui n'est pas le cas, car je n'adère pas à ce supposé groupe qui après recherche ne semble existé que dans les rêves)
Tiens donc, pourtant son discours porte à croire le contraire. La négation, sweet négation... Négation d'en faire partie puis négation du mouvement lui-même... Dans le fond, c'est peut-être cohérent: il ne fait pas partie d'un groupe qui n'existe pas mais bien des hoministes, nom que se donnent les masculinistes entre eux, ou encore hommes en crise ou autre sobriquet dans la même lignée. Masculiniste est en fait le nom que donnent les féministes et pro-féministes aux gens qui tiennent ce genre de discours.
Il y a eu à quelque part une brisure entre les femmes et les hommes... Mais nous savons tous que le combat était nécéssaire et qu'il est loin d'être terminé... Mais, n'a-t'il fait que des bonnes chose? Si vous avez dans la jeune trentaine, je doute fort que vous ayez connue la détresse de vos grand-mères, vos mères étaient de la révolution... Hors vous vous battez pourquoi? Pour des idées du passé? Nous ne sommes plus en 60-70, nous sommes en 2006, et les problèmes des femmes ont changé et on découvre aussi que les hommes ont des problèmes, certe, pas tous relié au féminisme, mais quelque un...
Une 'tite flatte dans le sens du poil puis oups, on s'en retourne au bashage. Se contredire ainsi dans l'espace de 2 pharses c'est quand même fort...
Au fait, le mouvement féminisme est intimement lié au mouvement du «Gay-pride»... Il y a aussi certaine chose à démystifier la-dedans...
Tout comme, c'est un autre sujet, je ne crois plus au bien fondé du syndicalisme tel qu'il est aujourd'hui.
(...) Laisserons-nous un tel cahos à nos enfant?
Il aurait aussi pu dire ouvertement: "Je suis rétrograde" que ça aurait fait pareil... Dans le fond, il y a une conspiration féministo-gay-pride qui vise à éliminer les vrais hommes violents dominants testo pour les remplacer par des gais et des femmes. Wouhahaha!
Désolé, je n'ai pas un bonne mémoire en ce qui attrait au numéros et au libéllé de cette lois au Québec(...)Et maintenant on fait carrément de la discrimination envers les hommes dans ces domaines. Surtout que les objectif initiale de ces institutions on déjà été atteintes depuis fort longtemps.
C'est en référence à la discrimination positive ça. Et la meilleure c'est le lien entre la première phrase et la dernière. Je ne me souviens plus de la loi mais ses objectifs ont été atteints. Bravo!
Dans le droit parental, il est dure de trouver un juge ou un avocat, ce qui donne de l'eau au moulin de l'association «father for justice» qui est totalement justifié selon moi...
C'est dur de trouver un juge? Quoi? Autre mensonge éhonté. Quant aux avocats dans ce domaine spécifique, je ne saurais me prononcer. De tout façon, le meilleure c'est la référence à "father for justice", vous savez, le regroupement d'hommes violents qui se surprennent de ne pas avoir la garde de leurs enfants. Mais cette association est totalement justifiée...
Aussi soulignons de nombreux programmes de récompense comme «Chapeau les filles» qui encourage seulement les jeunes femmes qui réussisent leur cours. Aucun programme du même genre n'est actuellement offert pour les jeunes hommes.
C'est vrai ça! Pis on devrait offrir le BS aux chef-fe-s d'entreprise aussi! Mais il n’y a vraiment rien pour les garçons… Rappelons-nous seulement cette journée spéciale pour les garçons à Sherbrooke, lors de laquelle les jeune filles devaient restées à la maison et où les garçons ont été honorés de la visite de l’armée, d’hélicoptères, de gros camions et du ministre de l’éducation lui-même, Pierre Reid! C’est ‘tit pas beau et plein de testo ça!
Et que les Câlisses et les tabarnacles n'ont jamais rien règlé, la preuve en est que, idiots que nous sommes, nous avons il y a longtemps réduit ce qu'est l'églisse à ces jurons grotesques...
Pis le lien avec l'église ast'heure, c'est-y pas merveilleux?
Je suis désolé, mais je pense que l'oppression ne devrait pas être tout court (cela est mon opinion). Cependant si on change le mot oppression par discrimination, p-ê que...
...l'on change la compréhension du monde peut-être? Voici maintenant la négation de l'oppression effectuée avec brio par un "subtil" glissement vers la discrimination... Abracadabra!
Moi je discriminerais automatiquement ceux et celles qui ne peuvent pas transporter la bombone de 200 lbs. De même que dans la police de rue dans un quartier violent, je ne mettrais pas deux policières de 1,3 m dans une patrouille.
Une petite chose: ne remarquez-vous pas cette subtile féminisation. Pourquoi soudainement féminiser ici? Je vous laisse la deviner celle-là. Quant aux femmes de 1,3 m, c'est évident qu'elles seraient absolument incapable de patrouiller dans un quartier violent. Surtout que la grandeur influe beaucoup sur le port du gun... C'est bien mieux des mecs costauds de 6 pieds et perpétuer le mythe de la faiblesse physique des femmes. À mon avis, c'est un mythe ancestral qui a eu une influence sur le développement des femmes et non l'inverse. À force de se faire convaincre de sa propre faiblesse dès le plus jeune âge, surtout après des millénaires, on le devient. Mais bon, c'est un autre débat...
Mettre la détresse féminine au même rang que la détresse masculine reviendrait à dire qu'il n'y as pas de différence entre les deux sexe... Hors il n'y as rien de plus faux.
Les hommes on de la difficulté à gérer leurs émotions et fonctionnenet difficilement dans une société qui tends à les contrôler de trop près.
Là, c'est un autre bout de la marde. D'un côté, il est ici suggéré que la détresse des hommes a plus d'importance, deuxième partie à l'appui. Et évidemment, cette dernière ne concerne que les hommes et ne s'applique d'aucune façon aux femmes. Ah, si le ridicule tuait...
Ce que je voulais dire par oppression sur les gens violent... Par exemple, le petit garçon que l'on réprimende d'être trop turbulent... On n'accepte pas le fait que le garçon à besoin de bougé et que le modèle d'enseignement ne lui convienne de moins en moins... Ça c'est de l'oppression... Ça peut mener au ritalin, à la honte, à l'échec scolaire, à l'abandon des études et finalement à la délinquance...
La réaction masculine face à un élément qu'il lui est difficile à réssoudre résulte souvent à la violence... Donc, plus d'oppression, plus de violence...
Oups, l'oppression est de retour! Avec d'autres "particularités masculines" comme la turbulescence. Et encore le mantra. Ok, tout le monde ensemble "plus d'oppression, plus de violence". Dans le fond, faut que le féminisme s'arrête, sinon il va y avoir plus de violence... Plus çâ avance et plus je me demande: Est-ce une menace?
Lépine vivait une détresse émotionelle intense...
Ça, c'est dans le sujet sur Lépine, qui était évidemment une victime. Un moment donné, il y a bien des limites.
Finalement, d'autres messages sont arrivés pendant que j'écrivais celui-ci. Malt aura beau le nier, il tient un discours masculiniste.
La logique de l'ouverture d'esprit devrait aussi inclure le fait d'accepter les idée contraire à la notre.
Et oui, selon cette logique il faudrait accepter notamment l'idée selon laquelle il faut éliminer "la race juive" pour maintenir la pureté de la race aryenne. Bullshit! La rigeur implique que l'on rejette ce qui est faux et les mensonges. Ainsi,
Je me pose des questions, êtes vous capable d'y répondre en toute franchise, honêteté et impartialité?
Je n'ai pris aucune position dans le débat féminisme-masculinisme,
C'est si faux que je me pose la question suivante: es-tu menteur ou seulement stupide? Tu ne fais qu'affirmer des trucs dans tes messages, tu ne poses des questions que pour suggérer des affirmations. Tu fais des liens directs entre féminisme et tout plein de ses supposées conséquences. Sans compter ton message qui vise à mieux comprendre Lépine, tes liens entre maladie mentale et homosexualité, ta défense du discours anti-choix, ta phrase nostalgique sur la bonne vieille église et tes multiples allusions à la violence des hommes qui revient à la légitimer qui sont autant de raisons de te barrer de ce forum.
Tu auras beau mettre des pincettes pour mieux cacher le marteau dans ton dos, la vérité est évidente et ton mensonge éhonté. Et si vraiment tu es sincère et que tu n'y connais rien, bien que je ne le crois pas, et bien voilà: un masculiniste, c'est quelqu'un qui affirme ce que tu affirmes et qui pense comme toi.
Pro-féministement vôtre,