Forums de l'ASSÉ

Décontracté, sûr de lui, André Boisclair leur a livré un de ses meilleurs discours, axé pour l'essentiel sur la confiance en l'avenir et la «loyauté envers le peuple québécois». Il a été limpide sur ses intentions et si Jean Charest croyait l'embarrasser avec l'éventualité d'un référendum, il devra trouver autre chose.

Les médias ayant la plus grande part de l'issu des élection, dans la majorité des cas, on pour l'instant choisit leur camp, rien d'plus claire.

Vive l'information médiatique! (ou devrais-je dire la désinformation et l'endoctrinement?)

P.S. J'aime les singes parce qu'ils sont drôles

C'est facile:

Le Devoir va éditorialiser en faveur du PQ.

Pratte va trouver le moyen de vanter les mérites de Charest (faudra toutefois, pour ne pas complètement perdre la face, qu'il lui serve en même temps une pseudo-semonce/un pseudo-avertissement).

Le Journal de Mourial... ehmmm... ont-ils un réel comité éditorial...?

Que si, Berlu!

Sheila Copps va nous servir une sauce libérale marquée, très marquée. Elle se souvient de ses bons amis du Parti et leurs commanditaires se souviennent bien d'elle, alors elle peut maintenant faire un peu de prose putassière dans un torchon mondain en échange de bons cadeaux (golf, voyages, restos, name it) sans risque d'avoir des trucs gossants comme les comités d'Éthique au cul...

Michel Vastel oscillera entre PQ et PLQ. Il servira au PQ des avertissements comme quoi ils ne doivent pas trop parler de souveraineté pour ne pas "effrayer les électeurs" et fera, à divers moments, l'apologie gratuite de John James Charest. Dans tous les cas, on s'en souviendra, il est du genre à crisser des claques à des journalistEs féminines dans des restos huppés d'Ottawa...

Nuovo parlera de la venue de l'automne et sera nostalgique sur le bon vieux PQ. Il se permettra très vraisemblablement quelques parenthèses sur ce que disait son bon ami Bourgault (qui siège aujourd'hui au Valhalla) mais nous fera, unilatéralement, l'apologie du PQ. Ce qui devrait être assez édifiant.

Reste les deux autres. Laurent machin et Michel C. Auger. Le premier m'est toujours apparu comme insignifiant, à mi-chemin entre Bernard Derôme et une boîte de biscuits. Le second est toujours mitigé et cherche à ne jamais tomber dans un camp ou dans l'autre (PQ-PLQ) ce qui le fait inévitablement basculer dans le dernier camp: Le Camp Bullshit.


Note: Le membership aux deux camps précédemment nommés n'exclue cependant pas un possible membership au dit dernier camp.

Instructif...

Mais je pensais plutôt à une position éditoriale « de journal ».

Quand Le Devoir ou La Presse publie un éditorial sur les élections (le jour d'avant), ça veut généralement dire: ce journal vous recommande de voter pour tel parti.

Décontracté, sûr de lui, André Boisclair leur a livré un de ses meilleurs discours, axé pour l'essentiel sur la confiance en l'avenir et la «loyauté envers le peuple québécois». Il a été limpide sur ses intentions et si Jean Charest croyait l'embarrasser avec l'éventualité d'un référendum, il devra trouver autre chose.

ça lui est revenu dans la face : http://www.ledevoir.com/2006/09/11/117834.html

Que c'est passionnant, les guerres d'équipes de com. Celle des libéraux continue à reprendre du poil de la bête.

Instructif...

Mais je pensais plutôt à une position éditoriale « de journal ».

Quand Le Devoir ou La Presse publie un éditorial sur les élections (le jour d'avant), ça veut généralement dire: ce journal vous recommande de voter pour tel parti.

Avant l'apparition de certains nouveaux au Journal, on aurait pu dire qu'il était péquiste. Il le fut de 1975 à 2002 environ.

Depuis, c'est assez flou. On engage un peu tout le monde pour donner une impression de débats. Y'a même la grosse Payette que j'ai oublié et qui donne dans le nostalgisme avancé. Elle doit avoir un cancer ou un truc du genre.

Quoiqu'il en soit, y'a pas de ligne éditoriale au Journal. Mais y'a une bonne coup' d'éditorialiches. C'est ce que je voulais dire.

P.S: Ouais, j'lis le Journal quand j'vais prendre un café au petit resto du coin. Y'a que ça et ça divertit comme il me coûte zéro.

Les déserteurs du Bloc comme Yvan Loubier l'intéressent mais, comme il l'a constaté avec Gilles Duceppe, le PQ ne doit pas saigner son cousin d'Ottawa. «C'est une préoccupation commune», a dit M. Boisclair, hier.

Foutaise...

Le seul parti plus inutile que le Bloc c'est le parti Rhinocéros. Et lui, au moins, c'est intentionnel.

Il accuse le chef de l'opposition de tenir "un discours creux et vide."

Jamais quelque chose de plus vrai n'est sorti de la bouche de John James.

«Nous, notre alternative, c'est de poursuivre le redressement qu'on a entrepris en 2003, de donner la priorité à la santé, à l'éducation et aux régions», a déclaré M. Charest

AHAHAHAHAHAHAHA!