LE VENT DE GAUCHE NE PASSERA PAS!
Le gouvernement provincial commence enfin à rapprocher les frais de scolarité du montant que les jeunes devraient investir dans leur éducation individuelle. Le gouvernement fédéral fait preuve de vision à long terme en investissant dans la guerre pour démocratiser le Moyen-orient. Le gouvernement Charest donne enfin le feu vert à la construction d’un port méthanier pour hausser l’apport énergétique du Québec, après beaucoup trop de surplace sur des dossiers comme le Suroît. Harper a la sagesse d’abandonner l’accord de Kyoto avant qu’on ne s’embourbe dans des « solutions » trop complexes alors qu’il est déjà trop tard. Il y a encore une crise du logement au Québec, mais heureusement la construction de condominiums va bon train, et il reste de l’espoir. Les gouvernements baissent nos impôts pour augmenter notre pouvoir d’achat. L’État se désengage de plus en plus dans le financement des services publics, ouvrant la porte aux partenariats public-privés. Il met enfin les syndicats au pas avec le décret 142. Et la police fait régner les grands idéaux de modernité de nos gouvernements en maintenant le calme et l’ordre. Bref, notre système met enfin en place les outils nécessaires pour empêcher les avocats du statu-quo de freiner notre course héroïque vers le progrès.
Suite à plusieurs actions aux prétentions populaires contre ces décisions légitimes, nous nous devons de répondre aux différents groupes sociaux qui protestent contre ces mesures. Pourquoi ne pas utiliser leurs armes et manifester à notre tour? Nous sommes de droite, et nous l’assumons. Fini le temps où nous passions notre message à travers nos médias de masse ou sous le couvert de belles paroles. En cette occasion, nous crierons haut et fort nos idéaux de liberté, ceux de la libre-entreprise, du libre-marché et de la libre concurrence dans un monde libre de toutes mesures visant la « justice sociale », idéaux que nous savons inatteignables et, de surcroît, impertinents. Cessons de jouer à l’autruche : le monde est une jungle, et nous en serons les lions, les rois.
Nous organisons donc une manifestation le vendredi 23 novembre à 15hres au square Victoria pour protester contre l’idéologie dominante gauchiste qui envahit de plus en plus les tribunes du Québec. Il est important d’arriver à l’heure et même à l’avance car une messe en hommage au Capital se donnera avant la manifestation, qui devra partir à l’heure… c’est la politesse des rois après tout!
Nous sollicitons la participation de tous (familles, organismes, associations, groupes divers, etc.) pour allier nos forces et faire un front commun contre le retour dramatique de ces communistes.
Voici le code disciplinaire de la manifestation :
- Les habits devront être soignés, pantalons et chemises repassés, avec cravate de préférence. Toutefois, notre souci d’ouverture va jusqu’à accepter des tenues modestes, voire humbles. Cela va de soi qu’il ne faut pas en profiter pour venir débraillé. Les gens humbles savent être dignes.
- Nous attirons tout particulièrement l’attention de ces dames à qui il échoira de représenter les valeurs de la Femme du Québec. La parité se mérite. Doucement sur le gloss, les vernis à ongle, etc… Vous devez être à l’élégance et à la discrétion ce que ces messieurs seront à la rigueur et à la conviction.
- Les cheveux doivent être lavés et peignés dans le bon sens.
- Les enfants devront être polis et silencieux.
- Banderoles et pancartes devront être soignées (si possible faites à l'ordinateur et pas au marqueur). Notez que le comité organisateur de cette manifestation fera des surplus de pancartes pour ceux et celles qui n’auront pas le temps d’en faire.
Pour vous mettre l’eau à la bouche :
http://www.youtube.com/watch?v=9f-INZaPcas
http://www.manifdedroite.com/
Pour informations, vous pouvez nous contacter à l’adresse ibid@mail.org
-L’institut Bastiat pour l'Instauration de la Droite
Manifestation de droite
Manifestation de droite
de exocortex le Sam Nov 17, 2007 1:31 pm
Coordo à l'externe de l'AFESPED.
J'écris bien ce que je veux, viârge.
3 pavillons de l'UDEM ont été conçus par un architecte de prison.
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de Kapitaine_Kolon le Sam Nov 17, 2007 3:08 pm
Désolante routine
Denise Bombardier
Le Devoir - Édition du samedi 17 et du dimanche 18 novembre 2007
Mots clés : financement, grève, Étudiant, Éducation, Québec (province)
Le mot ne s'applique pas qu'aux aléas de la vie amoureuse. Il n'est pas réservé uniquement aux aspects négatifs du travail. Il est au coeur de la vie politique et sociale. Dans cette optique, les manifestations étudiantes de cette semaine, avec leur lot d'agitation et de bêtises délinquantes, appartiennent à une routine estudiantine.
On s'ennuie, on cherche l'émoustillement, on revêt l'uniforme de l'exploité social et du redresseur de torts, on n'a pas réglé ses problèmes avec l'autorité, on croit à l'abolition des droits de scolarité comme les générations précédentes ont cru tour à tour au peace and love, au karma, à la révolution sexuelle et à l'exploitation de l'homme par l'homme, et on descend dans la rue fiévreux, vaguement inquiets, et on se prend pour des moines birmans qu'on a vus sur YouTube. Cela déplaira suprêmement aux adorateurs jeunistes et à ceux parmi les jeunes qui estiment qu'on doit les idolâtrer en vertu de leur âge, faute de quoi on appartient au camp des vieux méprisants, mais cette descente dans les rues relève de l'enfantillage réactionnaire de privilégiés qui pratiquent le nombrilisme social.
S'il n'est pas facile d'être jeune de nos jours, comment qualifier l'époque où, à 25 ans, les garçons et les filles étaient déjà parents de deux ou trois enfants qu'ils avaient la responsabilité de faire vivre? Le père travaillait, avait peu de temps pour épanouir son «moi» dans des loisirs divers, et les mères n'avaient pas de psychologues pour les éclairer sur la façon de développer leur «estime de soi». À 20 ans, on était adulte, au sens de «responsable», et on rêvait qu'un jour nos enfants auraient une vie plus facile. À vrai dire, ces générations ont tellement rêvé l'avenir qu'une partie d'entre elles s'est refusée à contrarier et à contraindre ses propres enfants, avec le résultat qu'elle n'a pas su les élever pour faire face aux réalités de ce monde contemporain rempli de contradictions.
Quand on a appris que tout nous est dû, que le «système» est pourri, que toute autorité est symbole d'exploitation, qu'une institution comme l'université est un instrument de domination capitaliste, qu'entre un recteur et George W. Bush il n'y a qu'une différence de degré dans l'horreur, quand on estime que la société doit payer nos études sans contrôle excessif de la qualité du rendement, on descend dans la rue pour que la répression policière se mette en branle et que, tachés de sang, on crie à la dictature. C'est peu dire qu'on se fiche des autres étudiants, ces confrères aliénés et futurs exploiteurs du système pourri, qui éprouvent peu d'enthousiasme devant notre saine révolte.
Eh bien, y en a marre de ces plaintes appuyées sur des statistiques tronquées ou complaisantes à propos des conséquences catastrophiques d'un dégel des droits de scolarité sur les inscriptions. Avec le plus bas taux de droits au Canada, le nombre d'étudiants universitaires au Québec n'est pas supérieur à celui des autres provinces, ce qui démontrerait qu'il n'y a pas de cause à effet direct entre le prix de la scolarité et la fréquentation universitaire. Des étudiants crient leur indignation au dégel des droits, à hauteur de 50 $ par semestre; d'autres, au nom de leur droit à l'éducation, exigent l'abolition pure et simple de ces mêmes droits, et tous ces jeunes donnent à penser qu'ils sont des victimes alors qu'ils constituent les privilégiés de leur génération, dont les trois quarts n'accèdent pas au niveau universitaire.
Dans la rue, nous sommes face à un lobby de jeunes qui enrobent un discours d'arrière-garde construit sur leurs intérêts particuliers en un prêchi-prêcha où il est question, pêle-mêle, de démocratie, de répression politique et policière, de combat contre l'injustice et d'inégalités sociales. Oui, il y a un sous-financement universitaire; oui, il y a eu incurie et une gestion irresponsable à l'UQAM; mais qui peut croire que c'est dans ces manifestations où s'expriment des indignations gonflées à l'hélium idéologique par des professeurs complaisants dont la lecture sociale s'inspire de la gauche périmée que se trouve la solution aux vrais problèmes de l'enseignement supérieur?
Ces obsédés du gel des droits de scolarité ou de leur abolition sont de mauvais citoyens dans la mesure où ils refusent de faire un léger effort personnel supplémentaire afin de financer l'université comme les autres contribuables. Ces jeunes à qui tout est dû croient aussi à l'assistanat et se fichent bien de ceux qui les suivent. «Après moi le déluge!» pourrait être leur slogan. Faut-il rappeler cependant qu'ils ont eu des maîtres à penser avec ces professeurs baby-boomers, le coeur à gauche dégoulinant de bien-pensance, fonds de retraite et sécurité d'emploi bien encastrés à droite? Ceux-ci ont prémuni leurs étudiants contre tous les salauds de la Terre boursicoteurs, spéculateurs et créateurs d'emplois, aliénants, il va sans dire.
Enfin, n'oublions pas que la majorité des étudiants universitaires proviennent toujours des strates sociales supérieures et qu'en les mettant si peu à contribution pour le financement de l'université, l'État favorise ces mêmes classes supérieures au détriment des jeunes des classes défavorisées. Pour employer le langage des forces vives descendues dans la rue ces derniers jours, on pourrait dire que l'État perpétue l'exploitation des pauvres par les plus riches. C'est ce qu'on appelle l'effet pervers.
denbombardier@vidéotron.ca
Denise Bombardier
Le Devoir - Édition du samedi 17 et du dimanche 18 novembre 2007
Mots clés : financement, grève, Étudiant, Éducation, Québec (province)
Le mot ne s'applique pas qu'aux aléas de la vie amoureuse. Il n'est pas réservé uniquement aux aspects négatifs du travail. Il est au coeur de la vie politique et sociale. Dans cette optique, les manifestations étudiantes de cette semaine, avec leur lot d'agitation et de bêtises délinquantes, appartiennent à une routine estudiantine.
On s'ennuie, on cherche l'émoustillement, on revêt l'uniforme de l'exploité social et du redresseur de torts, on n'a pas réglé ses problèmes avec l'autorité, on croit à l'abolition des droits de scolarité comme les générations précédentes ont cru tour à tour au peace and love, au karma, à la révolution sexuelle et à l'exploitation de l'homme par l'homme, et on descend dans la rue fiévreux, vaguement inquiets, et on se prend pour des moines birmans qu'on a vus sur YouTube. Cela déplaira suprêmement aux adorateurs jeunistes et à ceux parmi les jeunes qui estiment qu'on doit les idolâtrer en vertu de leur âge, faute de quoi on appartient au camp des vieux méprisants, mais cette descente dans les rues relève de l'enfantillage réactionnaire de privilégiés qui pratiquent le nombrilisme social.
S'il n'est pas facile d'être jeune de nos jours, comment qualifier l'époque où, à 25 ans, les garçons et les filles étaient déjà parents de deux ou trois enfants qu'ils avaient la responsabilité de faire vivre? Le père travaillait, avait peu de temps pour épanouir son «moi» dans des loisirs divers, et les mères n'avaient pas de psychologues pour les éclairer sur la façon de développer leur «estime de soi». À 20 ans, on était adulte, au sens de «responsable», et on rêvait qu'un jour nos enfants auraient une vie plus facile. À vrai dire, ces générations ont tellement rêvé l'avenir qu'une partie d'entre elles s'est refusée à contrarier et à contraindre ses propres enfants, avec le résultat qu'elle n'a pas su les élever pour faire face aux réalités de ce monde contemporain rempli de contradictions.
Quand on a appris que tout nous est dû, que le «système» est pourri, que toute autorité est symbole d'exploitation, qu'une institution comme l'université est un instrument de domination capitaliste, qu'entre un recteur et George W. Bush il n'y a qu'une différence de degré dans l'horreur, quand on estime que la société doit payer nos études sans contrôle excessif de la qualité du rendement, on descend dans la rue pour que la répression policière se mette en branle et que, tachés de sang, on crie à la dictature. C'est peu dire qu'on se fiche des autres étudiants, ces confrères aliénés et futurs exploiteurs du système pourri, qui éprouvent peu d'enthousiasme devant notre saine révolte.
Eh bien, y en a marre de ces plaintes appuyées sur des statistiques tronquées ou complaisantes à propos des conséquences catastrophiques d'un dégel des droits de scolarité sur les inscriptions. Avec le plus bas taux de droits au Canada, le nombre d'étudiants universitaires au Québec n'est pas supérieur à celui des autres provinces, ce qui démontrerait qu'il n'y a pas de cause à effet direct entre le prix de la scolarité et la fréquentation universitaire. Des étudiants crient leur indignation au dégel des droits, à hauteur de 50 $ par semestre; d'autres, au nom de leur droit à l'éducation, exigent l'abolition pure et simple de ces mêmes droits, et tous ces jeunes donnent à penser qu'ils sont des victimes alors qu'ils constituent les privilégiés de leur génération, dont les trois quarts n'accèdent pas au niveau universitaire.
Dans la rue, nous sommes face à un lobby de jeunes qui enrobent un discours d'arrière-garde construit sur leurs intérêts particuliers en un prêchi-prêcha où il est question, pêle-mêle, de démocratie, de répression politique et policière, de combat contre l'injustice et d'inégalités sociales. Oui, il y a un sous-financement universitaire; oui, il y a eu incurie et une gestion irresponsable à l'UQAM; mais qui peut croire que c'est dans ces manifestations où s'expriment des indignations gonflées à l'hélium idéologique par des professeurs complaisants dont la lecture sociale s'inspire de la gauche périmée que se trouve la solution aux vrais problèmes de l'enseignement supérieur?
Ces obsédés du gel des droits de scolarité ou de leur abolition sont de mauvais citoyens dans la mesure où ils refusent de faire un léger effort personnel supplémentaire afin de financer l'université comme les autres contribuables. Ces jeunes à qui tout est dû croient aussi à l'assistanat et se fichent bien de ceux qui les suivent. «Après moi le déluge!» pourrait être leur slogan. Faut-il rappeler cependant qu'ils ont eu des maîtres à penser avec ces professeurs baby-boomers, le coeur à gauche dégoulinant de bien-pensance, fonds de retraite et sécurité d'emploi bien encastrés à droite? Ceux-ci ont prémuni leurs étudiants contre tous les salauds de la Terre boursicoteurs, spéculateurs et créateurs d'emplois, aliénants, il va sans dire.
Enfin, n'oublions pas que la majorité des étudiants universitaires proviennent toujours des strates sociales supérieures et qu'en les mettant si peu à contribution pour le financement de l'université, l'État favorise ces mêmes classes supérieures au détriment des jeunes des classes défavorisées. Pour employer le langage des forces vives descendues dans la rue ces derniers jours, on pourrait dire que l'État perpétue l'exploitation des pauvres par les plus riches. C'est ce qu'on appelle l'effet pervers.
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de exocortex le Sam Nov 17, 2007 3:14 pm
Elle est probablement mal baisée.
Merci, ça donne des idées de slogans.
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de Carbo le Sam Nov 17, 2007 4:22 pm
Je propose de lui écrire quelques mots. On a son adresse, juste un peu plus haut. Je lui ai déjà envoyé un court texte où je lui mentionnais que Saku Koivu était plus à gauche qu'elle...
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de Kapitaine_Kolon le Sam Nov 17, 2007 5:14 pm
@Greg :
Tu devrais poster tes slogans ici pour qu'on puisse plus facilement les retrouver.
Pis c'est surtout que ça fait pas propre : on se croirait à Montréal-Nord.
Tu devrais poster tes slogans ici pour qu'on puisse plus facilement les retrouver.
Pis c'est surtout que ça fait pas propre : on se croirait à Montréal-Nord.
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de Kapitaine_Kolon le Sam Nov 17, 2007 9:57 pm
Noooooooooon !! Nous sommes TOUT À FAIT sincères...
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de Landvättir le Dim Nov 18, 2007 12:23 am
Le débat sur les frais de scolarité est en train de virer en une simple guerre de générations. Vivement que les critiques séniles se taisent, pour qu'on puisse dialoguer.
x
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de mister_x le Dim Nov 18, 2007 12:48 am
J'espère que c'est une guerre de générations! Il faut garder des impots compétitifs tout en payant les problèmes en santé, en infrastructure et en éducation. Les vieux vont dire la santé. Les moyens les routes. Pis les étudiants, l'école. Tout ca grace au PQ qui a gelé trop de frais (pas juste la scolarité, l'électricité, la SAAQ, etc) tout en mettant une réforme de l'éducation mauvaise et etc. Donc Charest se demande quel problème régler et choisit la santé à cause des babyboomers. Mais l'éducation rapporterait plus de $$$ qu'on pourrait mettre en santé. Donc Charest est un brin populiste comme Dumont, mais version subtile. Sérieusement, je me demande s'il faudrait créer le parti étudiant du Québec. 2$ par personne qui vote pour vous et vous pouvez parler sur la scène publique sans grève et sans moyen de pression. Un gros lobby gratuit!
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de BlacKGuarD le Dim Nov 18, 2007 8:39 am
Pour l'euthanasie préventive des personnes en haut de 65 ans.
Ce qui:
A)Nous évitera le choc démographique prévu et nous fera épargner des milliards;
B)Nous permettra d'encaisser massivement les pensions de retraite devenues utiles et nous fera épargner des milliards.
C)Accessoirement, nous n'aurons plus à endurer les sermons éculés d'une vieille bourgeoise indignée grabataire du cortex... (:roll:)
Pour ce qui est de la manif' de droite, je suis pour l'abolition de la Formule Rand après tout.
J'ai ma place!
Ce qui:
A)Nous évitera le choc démographique prévu et nous fera épargner des milliards;
B)Nous permettra d'encaisser massivement les pensions de retraite devenues utiles et nous fera épargner des milliards.
C)Accessoirement, nous n'aurons plus à endurer les sermons éculés d'une vieille bourgeoise indignée grabataire du cortex... (:roll:)
Pour ce qui est de la manif' de droite, je suis pour l'abolition de la Formule Rand après tout.
The wise fools who sit in the high places of justice fail to see that, in revolutionary times like the present, vital issues are settled, not by statutes, decrees and authorities, but in spite of them.
- BlacKGuarD
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de Kapitaine_Kolon le Dim Nov 18, 2007 12:55 pm
Jeunesse au pouvoir !
Vieillesse au dépotoir !
et aussi :
Non, non, aux immigrants !
Oui, oui, aux bébés blancs !
Et je pense que la manif originale avait quelque chose de similaire, so pas d'accusation de plagiat svp :
Les hommes au boulot, les femmes au fourneau !
Vieillesse au dépotoir !
et aussi :
Non, non, aux immigrants !
Oui, oui, aux bébés blancs !
Et je pense que la manif originale avait quelque chose de similaire, so pas d'accusation de plagiat svp :
Les hommes au boulot, les femmes au fourneau !
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de Moïse le Dim Nov 18, 2007 4:21 pm
Quelques slogans utilisés à la mini manif de droite ironique faite à l'UL cet automne:
Sciences sociales,
terroristes !
Fermez les bibliothèques,
ouvrez des discothèques !
Rasons le boisé,
on veut voir Place Laurier !
Un pavillon
pour Jeff Fillion !
Vincent Lacroix,
prisonnier politique !
Les enfants
au travail !
Famille, travail, télévision !
Etc. Frankie Boy, tu as encore la liste ?
Sciences sociales,
terroristes !
Fermez les bibliothèques,
ouvrez des discothèques !
Rasons le boisé,
on veut voir Place Laurier !
Un pavillon
pour Jeff Fillion !
Vincent Lacroix,
prisonnier politique !
Les enfants
au travail !
Famille, travail, télévision !
Etc. Frankie Boy, tu as encore la liste ?
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