XioniK a écrit:Je pense que ça sera pas tres rempli parce que meme une executante d'une asso membre de la FECQ c'est pas trop c'est quoi le MEEQ. Mais on n'a appris a se congres si que nous en étions membres en étant dans la FECQ :S. Assez troublant
MÉÉQ : mouvement incluant la FECQ et la FEUQ, qui vise à élaborer un plan d’action commun lorsqu’une cause rejoint les étudiantes et étudiants universitaires et collégiaux. Le MÉÉQ se rencontre au moins une fois par année lors de l’Assemblée étudiante du Québec et incite à l'union du mouvement étudiant.
Quelles structures a le MEEQ ? Comment ses instances fonctionnent-elles ?
Le MEEQ peut-il être dissout sans dissoudre la FECQ ou la FEUQ ? Si oui, comment ?
Où sont disponibles les Règlements généraux du MEEQ ?
Qui siège au MEEQ ?
Quels représentations sont menés par la FECQ-FEUQ au titre du MEEQ ?
Combient de dizaines de personnes au Québec connaissent l'existence du MEEQ ?
Le MÉÉQ se rencontre au moins une fois par année lors de l’Assemblée étudiante du Québec et incite à l'union du mouvement étudiant.
XioniK a écrit:Mais alors c'est pas des AEQ qu'ont fait c'est des rencontres de MÉÉQ, mais alors pourquoi on apelle sa des AEQ.... Pourquoi alors changer l'apellation??? pour cacher quelque chose encore ou quoi??
La Presse
Nouvelles générales, mardi 18 décembre 1990, p. A12
Une nouvelle confédération étudiante va dénoncer le dégel des frais de scolarité
Léger, Marie-France
La Fédération des étudiants et étudiantes du Québec (FEEQ), qui regroupe 100000 étudiants de niveau universitaire, n'entend pas abandonner la lutte contre le dégel des frais de scolarité.
La FEEQ vient de créer avec la Fédération collégiale étudiante du Québec (FCEQ) une confédération étudiante dont le principal souci, dans les prochains mois, sera de dénoncer les augmentations de 150 p. cent décrétées par le gouvernement et entrées en vigueur en septembre dernier.
Cette nouvelle confédération, le Mouvement des étudiants et des étudiantes du Québec (MEEQ), se réunira pour travailler sur des dossiers communs aux deux fédérations étudiantes, sans pour autant remettre en question leur autonomie respective. «Les cégeps et les universités doivent chacun avoir leur fédération mais on est convaincu que sur certains sujets il faut travailler ensemble», a indiqué hier le président de la FEEQ, Nicolas Plourde.
En même temps, la FEEQ continue de se battre contre la hausse des frais de scolarité, par la voix des tribunaux. Elle vient d'obtenir la permission de faire appel du jugement de la Commission d'accès à l'information. Celle-ci refusait, le 5 novembre dernier, de remettre à la FEEQ une copie de la décision 89-268 du Conseil des ministre décrétant la hausse des frais de scolarité.
C'est le procureur de la FEEQ, Me Jean-Pierre Sheppard, qui a réussi à obtenir du juge Mailloux la permission de porter la cause en appel en Cour supérieure. Cet appel devrait être entendu au cours de la prochaine session.
«Pour contester sur le fond, nous avons besoin de cette décision. Comme le contenu a été rendu public en partie, on prétend que le Conseil des ministres a perdu son pouvoir discrétionnaire», a souligné Nicolas Plourde.
Même si Nicolas Plourde reconnaît qu'il y a une certaine démotivation dans les rangs des étudiants, il croit toutefois que la FEEQ n'est pas prête à abandonner la partie.
Catégorie : Actualités
Sujets - La Presse : Société et sciences sociales
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Type(s) d'article : Nouvelle
Taille : Court, 231 mots
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Procès-Verbal de l’Assemblée étudiante du Québec du Mouvement des étudiantes et étudiants du Québec Tenue le 15 août 2004 à l’Université Laval
4. Introduction au MÉÉQ
Mouvement des étudiantes et étudiants du Québec Page 4 de 6 Le
président d’assemblée explique la composition du MÉÉQ ainsi que les
procédures adoptées pour cette instance.
1994-11-04
Les associations de collèges privés devenaient admissibles à être membres de la FECQ. Les références au MEEQ (Mouvement des étudiants et étudiantes du Québec) faisaient leur apparition. Les membres permanents et intérimaires demeuraient, un membre intérimaire devant opter pour la permanence après une année ou se retirer de la FECQ pendant trois ans. Un Congrès semi-annuel avait lieu à chaque automne. Les votes étaient semi-proportionnels au Congrès : 2 votes pour une association de 1 000 membres et moins, 3 votes pour une association de 1 001 à 3 000 membres, 4 votes pour une association de 3 001 à 5 000 membres et 5 votes pour une association de plus de 5 000 membres. Il fallait un délégué pour chaque droit de vote à exercer. Les décisions se prenaient à majorité absolue et les propositions étaient mises en dépôt si seule la majorité simple était atteinte. Le code Morin était le code de procédure utilisé. Le Conseil exécutif n’avait plus qu’un droit de proposition au sein du Conseil d’administratin. Un Conseil National Étudiant des Collèges Privés regroupait les associations de collèges privés pour traiter de questions spécifiques. Il se réunissait deux fois par session. Le Conseil exécutif était constitué de 11 officiers, dont deux n’avaient pas droit de vote : président, viceprésident, secrétaire-archiviste, coordonnateur des affaires internes, coordonnateur des affaires externes, coordonnateur des affaires pédagogiques, coordonnateur des communications, coordonnateur des affaires financières et des services, coordonnateur du CNECP et deux conseillers confédéraux du MEEQ (sans droit de vote). Les élections des exécutants se faisaient sur la base d’un vote par association. Si une association ayant appuyé un candidat se désaffiliait, celui-ci était automatiquement démis de ses fonctions. Seul un étudiant de collège privé pouvait occuper le poste de coordonnateur du CNECP. La Commission pédagogique se réunissait au moins deux fois par session. Il y avait aussi la Commission sur les affaires politiques, la Commission sur les affaires financières, la Commission sur les communications et la Commission sur les services. Chacune était constituée d’un membre par association et présidée par un officier. Les Conseils régionaux n’existaient plus. La structure d’approbation de dépense actuelle avait été instaurée : 1 000 $ et moins devant être approuvé par le président et le trésorier, 5 000 $ et moins par le Conseil exécutif et plus de 5 000 $ par le Conseil d’administration.
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