Des nouvelles !!!
Ma lettre a quelque peu changer (rajout d'un paragraphe à la fin et changement de la fin des deux derniers paragraphes) qui va comme suit :
Considérant que toutes, directions, administrations, fédérations, ministère et autres ne semblent pas connaître la signification exacte du « nul ne peut » des articles 28 et 29, la manière d’appliquer ces articles ainsi que ses répercussions, il est clair qu’aucune direction ne pouvait viser directement les étudiants et étudiantes et aurait tout simplement dû avertir l’association étudiante de l’établissement scolaire de l’étendue de leur questionnement quant à ces articles.
Il est donc à mon sens très clair que le communiqué émis par la direction générale le 19 janvier 2006 était lamentablement erroné puisqu’il insinuait que les étudiants et les étudiantes du Cégep de Saint-Hyacinthe pouvaient faire l’objet de poursuites pénales (loi 142, art. 39 à 42) s’ils ou elles manifestaient leur mécontentement par des moyens de pression proscrits par la loi spéciale alors que, comme dit précédemment, nul ne semble véritablement au courant de l’impact de cette loi sur la masse étudiante.
Ainsi, je suis contre toute rétractation et tout démenti quant à mes affirmations de ce matin. De plus, je demande à ce que l’administration et la direction du Cégep de Saint-Hyacinthe tiennent des excuses publiques (lettre adressée au RÉÉCSH et ses membres) pour avoir directement visé tous les étudiants et toutes les étudiantes de ce cégep alors que cette interprétation de la loi 142 était inexacte compte tenu du fait que le gouvernement de monsieur Jean Charest n’a émis aucun commentaire ou n’a jamais spécifié si oui ou non ils et elles étaient
inclus-e-s dans cette loi.
Je rencontre donc l'administration tantôt... j'attends avec impatience cette réunion... quoique je suis quelque nerveuse.
J'ai plusieurs documents en main... comme Phil l'a dit, l'administration est cassée !!!