Dans une perspective keynésianiste, oui, c'est ce qui définit une crise. Je veux dire, un déficit ne veut pas nécessairement dire une crise économique (le Québec est en très léger déficit depuis plusieurs années), mais on peut reconnaître la fin d'une crise économique, pour un gouvernement aux tendances keynésiennes comme ici au Québec, à la fin des énormes déficits.
Bon, de toute façon, on verra bien rendu à cette date et je retire de ma liste d'éléments possibles à anticiper la variable de la crise économique pour la remplacer par celle de la fin des déficits du gouvernement du Québec.
We happy?