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Résultats de la consultation à l'UQAM... Et maintenant quoi?

MessagePosté: Mar Nov 20, 2007 4:35 pm
de TaMe
L'UQAM a rendu public les résultats de la consultation auprès de la communauté U concernant le "mandat clair" que demandait Corbo.

C'est donc oui à 75,2%, donc assez clair. Par contre, ce qu'il est intéressant de voir, c'est que sur le nombre de votants, 1092 étaient des profs, sur les 1407 personnes pouvant voter... Donc, même si tous les représentants-es étudiants étaient contre (ce qui ne fut pas...), il aurait passé haut la main quand même... Alors j'ai donc une question : bien que je n'aie jamais vraiment compris pourquoi plein de monde semblait en vouloir à ce vieillard rachitique, ben là, il sera recteur de l'UQAM, donc, que feront les associations facultaires? On repart en grève locale, alors que les solutions ne sont pas locales?

MessagePosté: Mar Nov 20, 2007 6:05 pm
de Tsunami Dan
L'enfermer dans un local?

MessagePosté: Mar Nov 20, 2007 7:32 pm
de lpsavoie
Manifester dans ses cours ? Tant qu'à être pertinent, autant l'être jusqu'au bout ...

C'était du sarcasme, soit dit en passant.

MessagePosté: Mar Nov 20, 2007 8:40 pm
de Philb
Il ne lui reste pas bien longtemps à donner des cours anyway...

MessagePosté: Mar Nov 20, 2007 9:35 pm
de Sindari
Corbo était recteur à cet époque.

1989-1990 : DÉGEL FULGURANT ET GRÈVE GÉNÉRALE
Le gouvernement profite de l’occasion pour dégeler les frais qui passent de 500 $ à 1200 $ par année. Le mouvement étudiant est ébranlé : il serait impensable de ne pas réagir et de laisser passer un dégel auquel on s’oppose depuis près de vingt ans. Néanmoins, les problèmes internes au sein de l’ANEEQ, l’influence croissante des fédérations étudiantes (FECQ/FEUQ) et, surtout, le fait que ce dégel massif soit proclamé à la mi-décembre, en pleine période d’examen, tous ces éléments ralentissent
l’organisation d’une réplique étudiante. Dès février 1990, un mot d’ordre de grève générale est lancé par l’ANEEQ : on fixe un plancher de 6 universités et 23 cégeps, qui n’est toujours pas atteint au début mars. Après l’abandon du plancher, le cégep et l’université de Rimouski déclenchent la grève, qui durera un mois et dont la mobilisation restera centrée autour de Montréal (UQAM, Saint-Laurent, Vieux-
Montréal, Rosemont, Maisonneuve) et de Rimouski. L’année suivant cette défaite majeure, un pilier de la gauche syndicale étudiante s’effondre avec la dissolution de l’Association générale des étudiantes et étudiants des secteurs de sciences humaines, lettres, langues et communication de l’UQAM (AGEsshalcUQAM).