IL y a deux associations de l'UQO qui ont voter une journée de grève pour la semaine prochaine.
Notamment l'AEMSS-UQO qui l'a adopter à l'unanimité ....
Plus de détail suiverons des la part des gens de l'UQO je l'espere
Bonjour à tous et à toutes !
Au cours des assemblées générales spéciales de l'Association étudiante du module des sciences sociales (AÉMSS) et de l'Association étudiante du module de psychoéducation (AÉMP) tenues ce midi, il a été adopté, à l'unanimité, la tenue d'une journée de grève le mardi 11 novembre prochain pour l'ensemble des étudiants et étudiantes de ces deux modules.
Journée de solidarité étudiante
Cette journée de grève, nommée “Journée de solidarité étudiante”, sera sous le thème de la dénonciation de la répression envers les étudiants et les étudiantes exercée par la direction de l'Université. Elle a pour but l'expression de la solidarité avec les étudiantes et étudiants ayant subit des sanctions administratives pour leurs actions pendant la campagne de boycott de Laliberté.
Les revendications pour cette journée sont :
- le retrait de la totalité des sanctions émises par le comité d'intervention concernant les actions commises dans la mobilisation entourant le café-bar;
- la démission de Michel Parent, directeur du Service des terrains et bâtiments.
Nous vous encourageons à venir participer aux différentes actions et activités organisées au cours de la journée en soutien aux étudiantes et étudiants réprimé-e-s et pour protester contre la répression institutionnelle.
Le 11 novembre, dès 8h00 au café-bar Taché, on vous attend, pour une journée de solidarité étudiante !
L'AÉMSS et L'AÉMP
Le Droit
Actualités, mercredi, 12 novembre 2008, p. 14
En bref
Manifestation étudiante à l'UQO
Quelques dizaines d'étudiants ont manifesté à l'intérieur du pavillon Taché de l'Université du Québec en Outaouais (UQO), hier, pour contester les sanctions imposées à cinq des leurs dans le conflit qui les oppose à la direction de l'établissement universitaire. Les étudiants ont appelé au boycott de la cafétéria de l'endroit dans leur lutte à l'intrusion du privé dans le secteur de l'éducation, cet automne, et l'UQO a sévi contre certains activistes, dont un qui a été suspendu pour la session. La trentaine d'étudiants représentait quatre associations modulaires ayant voté en faveur d'une grève d'une journée. Les 750 membres de ces associations ne se sont pas présentés à leurs cours, hier. Le regroupement a reçu l'appui moral de l'Alliance de la fonction publique du Canada qui justifie son geste en affirmant que le comportement de l'UQO est démesuré et qu'elle vise à bâillonner une opposition non-violente.
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Numéro de document : news·20081112·LT·0021
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