Bonjour à toutes et à tous!
L'observatoire pour lequel je travaille à l'UQO (et particulièment la directrice qui se spécialise sur la question de la garde partagée) est souvent la cible des groupes masculinistes. Récemment, nous avons reçu une longue et douloureuse plainte du fondateur de Fathers 4 Justice Québec. Je sais que ce message a été envoyé à plusieurs groupes sociaux.
Je partage ce message avec vous pour quelques raisons:
1. Pour tout ceux et toutes celles qui croient encore que les masculinistes ne sont pas dangereux et impertinents et que leur cause est juste et noble;
2.Pour toutes celles et tous ceux qui ne connaissaient pas encore les masculinistes;
3. Finalement, pour que cette propagande haineuse, ridicule et mysogine soit connue du plus grand nombre de gens possible.
Voici donc le dit message:
Le Conseil du Statut de la Femme, qui souffre de vieillissement, lance une campagne de propagande dans les écoles.
En effet, suite à l’échec de son rajeunissmeent d’image (changement de nom pour le conseil de l’égalité et la commission sur l’égalité) pour se rendre plus «sexy» auprès des jeunes filles, la nouvelle stratégie du CSF est d’aller propager une division malsaine auprès de nos enfants dans les écoles.
Sous le masque du questionnement face à l'hypersexualisation des jeunes filles et la violence conjugale, cette campagne de propagande vise à renforcé la position des féministes extrémistes.
Pourtant, il est maintenant clairement démontré que la violence domestique fait presqu’autant de victime chez les hommes que les femmes. Il est clair que ce sont les garçons qui pâtissent du système d’éducation avec des taux de décrochage scolaires important. Notre système d’éducation aujourd’hui est contrôlé par des femmes et orienté pour des filles. Les garçons y sont laissés pour compte et gavé de ritalin. 500 000 enfants sur le ritalin au Québec ne semble pas assez pour le CFS. 80% des décrocheurs scolaires sont des garçons, et le taux de diplômassions à la sortie des universités au Québec est de 20% supérieur à la faveur des filles
Les filles bénéficient de toute sorte de programme de bourse, les femmes bénéficient de lois qui leurs assurent une discrimination positive à l’emploi. Les mêres bénéficient du biais des tribunaux pour obtenir la garde des enfants surtout à cause des avantages financiers énormes qui en découlent : pension alimentaire non taxé pour la bénéficiaires mais taxé pour le payeur. Allocation familiale réservé à la mère. Grille de calcul des pensions totalement injuste en faveur de la mère, discrétion des juges sur le partage des biens et l’établissement des pensions.
Le réel questionnement du CSF devrait se tourné sur la responsabilité sociale du rôle de la même et sa progéniture abandonnée, qu’elle soit mâle ou femelle plutôt que de semer la division au sein de l’humanité.
84% de la garde est confié à la mère cette logique de la division, une industrie qui draine $5 milliard de ressource qui devrait être alloué aux enfants chaque année.
Je suis grimpé sur le pont Jacques Cartier pour dénoncé l’injustice dans l’attribution de la garde des enfants. J’ai passé à l’émission tout le monde en parle où j’ai du expliqué la responsabilité de trente ans de féminisme extrémiste dans la situation actuelle.
La réaction des féministes au pouvoir en a dit long sur leurs responsabilités. La démobilisation qui à suivit au sein des troupes féministe extrémiste à jeté dans l’angoisse celles qui en dépendent pour leur pouvoir, leurs jobs et leurs avantages personnels.
La Gazette des Femmes s’est acharné sur mon cas, me traitant de masculiniste (édition novembre-décembre 2005, sous la plume d’Andrée Poulin qui a récidivé dans le magazine l’Actuel). Or le mot masculiniste n’est pas encore dans le dictionnaire, c’est un mot introduit par les féministes extrémistes pour donner aux hommes qui s’oppose à leur volonté une image miroir d’elle-même, celle d’un ennemi sexiste. «Masculiniste», un terme péjoratif pour décrire quelqu’un de rétrograde, d’haineux envers les femmes, qui veut revenir au patriarcat conservateur ancestral.
Je ne suis pas masculiniste, je ne défends pas le droit et les pouvoirs des hommes contre celui des femmes, je souhaite seulement que l’harmonie puisse s’installer au sein de société et c’est dans les foyers, dans les relations homme-femme et dans les relations parents-enfants que l’amour peut et doit prédominé. À moins qu’on souhaite tous faires des enfants in-vitro, et qu’on deviennent tous homosexuel, je ne comprend pas l’avantage social de semer la division au sein de la race humaine.
Le 8 mars dernier, la ministre de la famille, des ainés et de la condition féminine, flanqué du ministre de la justice lançait une campagne de publicité odieuse à la télévision qui a été décriée par tous. L’Objectif? : augmenter le nombre d’accusation pour violence domestique. Le moyen? Présenté le mâle québécois comme une bête brute et la pauvre femme sans défense comme une victime.
Or sur les 14500 accusations de violence domestique, seulement 4000 mènent à une condamnation, tout sexe confondu. Le pourcentage de ces condamnation qui sont fondées est minime, car la plupart sont des injustices effarantes, où le pauvre gars est contraint de signé un aveu de culpabilité s’il veut recouvrer la liberté (Kafka? Staline?). Mais il n’a plus accès à sa maison, ses enfants, ses biens personnels, il a été emprisonné, a perdu son emploi, il est humilié et contraint de se défendre au criminel.
Rappelons que c’est sur la fois d’un mensonge prétendant qu’il y avait 300 000 femmes battues au Québec chaque année qu’a été créer la politique d’intervention en matière de violence domestique, un politique sexiste envers les homme, qui va à l’encontre de la Chartre Canadienne des Droits et Liberté de la personne. Suivant cette politique la police est contrainte d’arrêter l’homme et de le poursuivre au criminel sans preuve, sur une simple déclaration de la femme. Les hommes qui tentent de porté plainte pour violence domestique se font systématiquement refusé la plaine.
Dernièrement encore, on vient d’accorder $1,5 milliard pour l’égalité salariale au sein de la fonction publique. Dernièrement on vient de bonifié le salaire des travailleuses de garderie, majoritairement des femmes. Dernièrement on vient de donné un congé d’un an aux nouvelles mères aux frais de tous les contribuables. L’an dernier on a ajouté $60 millions aux $500 millions que le gouvernement donne annuellement aux groupes de femmes.
L’égalité entre les sexes, il n’y en a plus. Par la victimisation, une propagande haineuse et moralement biaisé basé sur des mensonges et des statistiques subjectives, l’idéologie féministe s’est hissé au pouvoir dans toutes les structures de la société, des états, fédéraux, provinciaux et municipaux, dans tous les partis politiques, les syndicats, le monde des affaires et domine sur le mâle de façon hypocrite et malsaine.
Le résultat global de ce beau travail qui dure depuis plus de trente ans, c’est la destruction des relations parents-enfants : On retire le père de la vie de leurs enfants, on pousse les enfants à la garderie (CPE… contrat de première embauche?), les vieux à l’auspice, les jeunes à l’école, les adultes au travail et on a complètement détruit le tissu social. Et c’est un phénomène orchestré au niveau mondial.
Lorsque vous verrez arriver ces femmes dans vos classes, lorsque vous lirez le malaise, la honte et la détresse sur le visage des garçons suite à leur passage, ne vous posez plus de question sur les intentions réelles du Conseil du Statut de la Femme, sur les intentions de la ministre de la famille, sur les intentions de la ministre du conseil du trésor, du ministre de la justice et du ministre de la sécurité publique.
L’hypersexualisation des jeunes filles, malheureusement, est une réaction naturelle de nos enfants qui cherchent l’amour, qui souhaitent rétablir désespérément une relation détruite avec les personnes de l’autre sexe, leurs semblable, leurs complément naturel. Or ce travail de destruction est du à trente ans de féminisme haineux, sexiste et destructeur.
Malheureusement, toutes les femmes sont féministe par nature, mais qui d’entre elle a vraiment souhaité qu’on fasse du féminisme un outil de destruction sociale?
http://www.cyberpresse.ca/article/20060 ... 4/CPACTUEL <http://www.cyberpresse.ca/article/20060920/CPACTUEL/609200745/1064/CPACTUEL>
Benoît Leroux
courageux citoyen
Père de trois enfants
Le «Robin» du Pont Jacques-Cartier
Fondateur de Fathers-4-Justice Québec