Bon... Je suis tanné de voir les gens de la FECQ affirmer des choses et nous demander poliement de leur faire confiance.
Puisqu'ils refusent de publier eux memes leurs documents, je le ferai à leur place...
On va enfin pouvoir parler des vraies choses sans se cacher quoi que ce soit...
Bonne lecture!
Que les executantEs répondent de leurs actes maintenant...
http://www.yourfilelink.com/get.php?fid=32339
et SI ca marche pas
http://www.filefactory.com/get/f.php?f= ... 53332348ac
(ce que vous devriez chanter en downloadant ca, version modifiée pour l'occasion)
Debout les damnés de la terre
Debout les forçats de la faim!
La raison tonne en son cratère
C’est l’éruption de la fin.
Du passe faisons table rase
Foules, esclaves, debout, debout
Le monde va changer de base
Nous ne sommes rien, soyons tout!
C’est la lutte finale
Groupons-nous, et demain (bis)
L'ASSÉ
Sera le genre humain!
Il n’est pas de sauveurs suprêmes
Ni FECQ, ni FEUQ, ni MÉÉQ
Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes
Décrétons le salut commun
Pour que le voleur rende gorge
Pour tirer l’esprit du cachot
Soufflons nous-mêmes notre forge
Battons le fer quand il est chaud.
L’état comprime et la FECQ triche
L’affiliation saigne le malheureux
Nul devoir ne s’impose aux executantEs
Le droit du membre est un mot creux
C’est assez, languir en tutelle
L’égalité veut d’autres lois
Pas de droits sans devoirs dit-elle
Egaux, pas de devoirs sans droits.
Hideux dans leur apothéose
Les rois du secret et du copinage
Ont-ils jamais fait autre chose
Que dévaliser le travail
Dans les coffres-forts du mouvement étudiant
Ce qu’il a crée s’est fondu
En décrétant qu’on le lui rende
Les étudiantEs ne veulent que leur dû.
Les rois nous saoulaient de fumées
Paix entre nous, guerre aux tyrans
Appliquons la grève aux armées
Crosse en l’air, et rompons les rangs
S’ils s’obstinent, ces cannibales
A faire de nous des héros
Ils sauront bientôt que nos balles
Sont pour nos propres généraux.
Ouvriers, paysans et étudiantEs nous sommes
Le grand parti des ouvrierEs intellectuelLEs
La terre n’appartient qu’aux hommes
L’oisif ira loger ailleurs
Combien, de nos chairs se repaissent
Mais si les corbeaux, les vautours
Un de ces matins disparaissent
Le soleil brillera toujours.