Comission des affaires sociopolitique (CASP)
Composée de tous les membres votants de la FECQ, chacun y ayant une voix. Les associations indépendantes peuvent y prendre la parole.
Comission des affaires institutionnelles. (CAI)
Composée de tous les membres votants de la FECQ, chacun y ayant une voix. Les associations indépendantes ne sont habituellement pas admises, à moins d'une mesure véritablement d'exception (pour expliquer un point, par exemple).
Les deux comissions sont consultatives ET décisionnelles. Les positions et décisions qui y sont prises doivent ensuite être entérinées en congrès, avec toutes les associations membres (c'est un vote nominal qui s'applique alors. L'asso ayant le plus gros vote nominal est l'AGECEM (6 votes), les plus petites en ayant 3). Les indépendants ont droit de présence au congrès, droit de parole (à moins qu'une association membre ne s'objecte) mais n'ont pas droit de vote.
La première comission traite habituellement des points dits socio-politiques. L'environnement, les différentes mobilisations (autant en CAC si mes souvenirs sont bons), les grands enjeux politiques (gratuité scolaire) ou encore l'Occupation du Tibet.
La seconde comission traite de points un peu plus ennuyeux (en tout cas, pour moi
) comme la publication des règlements généraux, les états financiers et de compte, les débats internes, etc.
Les positions adoptées sont habituellement débattues. Je dirais que, d'expérience, plusieurs positions débattues le sont par des gens qui n'ont pas de mandats précis sur telle ou telle autre question. Les représentants (externes pour la plupart) présents interprètent alors selon leurs positions propres, les réalités de leurs régions respectives ou selon une quelconque volonté politique.
Cela peut donner des associations-membres qui apparaissent une année comme très radicales (de gauche) et d'autres années comme extrêment mollassonnes.
P.S: La dernière partie de mon message n'est qu'une observation et est évidemment discutable. C'est un fait que j'ai revu assez régulièrement à la FECQ. Comme Anne-Marie, je crois que sur les "grands enjeux", les associations ont des mandats de leurs assemblées générales locales. Par contre, j'ai eu connaissance que plusieurs associations n'avaient, même, pas de mandat sur un sujet aussi important que la gratuité.
Allez savoir quant à l'accessibilité aux documents...