la decroissance a écrit:Le PPPQQQ hahaha,
Moi j'ai entendu de la bouche de Pauline l'expression "nouvelle social démocratie" un projet qui rallierait toutes les tendances au québec (implicitement aller chercher le vote des adéquistes)
nouvelle sociale démocratie... elle est bien bonne, déja que l'ancienne sociale-démocratie se voulait déjà un compromis entre les pensées radicales (communistes à l'époque) et le laissez-faire économique...
imaginez la nouvelle... un compromis entre presque pas de programmes sociaux et pas pentoute de programmes sociaux?
parti cul non merci
chat noir a écrit:Le PQ sont des fascistes, pourris par un nationalisme maintenant édulcoré de toute perspective socialement progressiste et essentiellement suprémaciste Blanc (si ça se trouve, Blanc québécois "pure laine". Après la mort de ses tendances social-démocrates, de l'abandon de son projet souverainiste, et de deux mandats de politiques néo-libérales qui allaient de connivence avec celles du fédéral, qu'est-ce que le PQ veut réaliser maintenant?
Le pouvoir Blanc.
Philb a écrit:WTF, le PQ est pas progressiste pour deux cents, CALISS ils sont pour le dégel, couche avec le patronat et les centrales syndicales corporatives et osent ce dire progressiste... Mort aux Péquistes!!!!
Et j'imagine que tu vas pas leur demander d'apporter des argments à eux?
Le système de justice actuelle prévaut l'innocence. Le fardeau de la preuve repose sur vos accusations, non pas sur ma défense d'être ou ne pas être Blah blah blah.
Pour ma part, j'en ai plein le cul de la droite qui méprise la population et j'en ai plein le cul de la gauche qui se victimise dans un mépris tout aussi flagrant de la population. Je préfère rester loin des dogmes gauche/droite et utiliser ma raison pour démystifier les problématiques. Y'a pas une idéologie qui fera dévier ma raison. Or, ni la gauche ni la droite n'a d'autres objectifs que ceux fixés par leurs dogmes respectifs.
Le pragmatisme-réaliste. Voilà.
Pour qu'il y ait progressisme, il doit avoir du progrès. Le Parti Québécois est un moteur de progrès et ses actions passées, sans qu'elle ne soient sorties de leur contexte, prouve qu'il a été un moteur de progrès important au Québec. Juste de vouloir donné un contexte politique favorable à l'émancipation d'une nation c'est une valeur de progrès, social en plus. Juste de réaliser que l'impôt au particulier n'est plus réellement le moyen d'aller chercher l'argent s'est une valeur de progrès.
Et le progrès... c'est pas le conservatisme dans mon dictionnaire de synonymes.
Parlant de dictionnaire. Voici une définition qui va évidemment prouver qu'il n'y a pas de racisme là on va en convenir.
racisme, n.m. : ¨ Idéologie fondée sur la croyance qu’il existe certaines races supérieures qu’il faut préserver de tout croisement et qui sont destinées à dominer les autres. • Ensemble d’idées, d’attitudes et de pratiques inspirées par cette idéologie, qui opèrent une discrimination et une hiérarchisation entre des groupes humains.
Sujet clos pour le racisme, on est à mil lieux de là.
En tant que progressiste je combat avec ardeur le radicalisme, ce qui est en soi normal. Surtout, j'essaie de comprendre pourquoi la violence s'immice dans notre démocratie surtout celle qui découle de ce radicalisme qui ne semble pas comprendre qu'il faut justement agir de façon mitoyenne et intelligente pour progresser. Pour avoir un poids politique encore faut-il avoir une certaine crédibilité. La violence, le radicalisme n'a guère la cote dans la population.
En ce sens, le Parti Québécois est cohérent avec le progressisme de par sa capacité à regrouper de façon cohérente derrière une cause commune, qui est l'indépendance du Québec (projet social profondément réformateur de l'ordre politique établi) et ce de façon démocratique et légitime, à regrouper, donc, la gauche et la droite en son sein afin de faire avance une nation qui ne demande que plus d'espace politique pour se sortir des contraintes assimilationniste canadian.
Il en résulte des réflexions qui ne réflète probablement pas ce qui peut se voir à l'étranger du fait que cette réalité n'existe qu'à très peu d'autres endroits dans le monde, en ce qui à trait au clivage gauche/droite ''conventionnel''.
Il ne faut donc pas évaluer le Parti Québécois sur l'axe gauche/droite, mais bien sur l'axe progrès/conservatisme.
En ce sens la gauche est actuellement très conservatrice de plusieurs valeurs des années 70 en plus de s'être égarée dans la judiciarisation des identités et le multiculturalisme de Trudeau. (Lire Guillaume Rousseau dans l'Action Nationale, vol xvc octobre 2005).
Je suis donc fier de dire que le PQ n'est pas de gauche à ce qu'on peut en entendre conventionnellement, parce que cette gauche elle est perdue rare...