Antoine a écrit:Aucune de ces réponses,
La situation était connu de pas mal tout le monde.
Le mardi 17 janvier 2006
La FECQ amochée par la grève étudiante
Annie Morin
Le Soleil
Québec
La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) est sortie amochée de la grève du printemps. La principale interlocutrice du gouvernement du Québec pour le réseau collégial ne déclare plus que 36 000 membres et doit rembourser une dette de 60 000 $.
Le budget révisé 2005-2006, transmis au SOLEIL par une source anonyme, révèle un grand trou dans les finances de la Fédération. Au terme de l’année scolaire 2004-2005, celle-ci accusait une dette de 60 000 $, alors que son actif atteignait à peine 20 000 $. Le document, datant d’octobre 2005, précise que l’association « se trouvait dans une situation périlleuse », mais qu’elle est déjà passée par là et qu’elle met les bouchées doubles pour s’en sortir.
Étienne Hudon-Gagnon, président de la FECQ, a indiqué hier que, déjà, la dette a été ramenée à 25 000 $ et qu’elle devrait être éliminée d’ici deux ans. Des économies ont notamment été réalisées sur le dos du personnel (un employé et demi au lieu de trois), des relations publiques et des services aux associations. Les 18 associations membres ont également fait leur part en gonflant le montant de leurs chèques.
Au chapitre ddu nombre de membres, le portrait est moins rose. La FECQ ne compte plus que 36 000 membres actifs et 4000 membres suspendus. Ces derniers appartiennent à des associations qui ont cessé de payer leurs cotisations, sans toutefois tenir un référendum de désaffiliation en bonne et due forme.
Plus de détails dans la version papier du journal Le Soleil de mercredi.
Source:http://www.cyberpresse.ca/article/20060117/CPSOLEIL/60117131/5293/CPSOLEIL
Et Il est claire que ça vient probablement de votre bord ça.
Le Soleil
Actualités, mercredi 18 janvier 2006, p. A7
La FECQ amochée par la grève étudiante
Trou dans l'effectif et les finances de l'association
Morin, Annie
La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) est sortie amochée de la grève du printemps. La principale interlocutrice du gouvernement du Québec pour le réseau collégial ne déclare plus que 36 000 membres et doit rembourser une dette de 60 000 $.
Le budget révisé 2005-2006, transmis au SOLEIL par une source anonyme, révèle un grand trou dans les finances de la Fédération. Au terme de l'année scolaire 2004-2005, celle-ci accusait une dette de 60 000 $, alors que son actif atteignait à peine 20 000 $. Le document, datant d'octobre 2005, précise que l'association "se trouvait dans une situation périlleuse", mais qu'elle est déjà passée par là et qu'elle met les bouchées doubles pour s'en sortir.
Étienne Hudon-Gagnon, président de la FECQ, a indiqué hier que, déjà, la dette a été ramenée à 25 000 $ et qu'elle devrait être éliminée d'ici deux ans. Des économies ont notamment été réalisées sur le dos du personnel (un employé et demi au lieu de trois), des relations publiques et des services aux associations. Les 18 associations membres ont également fait leur part en gonflant le montant de leurs chèques.
Au chapitre ddu nombre de membres, le portrait est moins rose. La FECQ ne compte plus que 36 000 membres actifs et 4000 membres suspendus. Ces derniers appartiennent à des associations qui ont cessé de payer leurs cotisations, sans toutefois tenir un référendum de désaffiliation en bonne et due forme.
Lors de la grève du printemps, la FECQ se targuait de représenter 60 000 des 150 000 cégépiens du Québec. Elle et la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ), qui comptait alors 160 000 membres, ont alors été choisis comme interlocuteurs privilégiés du gouvernement du Québec. Celui-ci les avait préférées à la CASSÉ, plus radicale dans son discours et ses actions. Cette association représentait tout de même plus de 30 000 étudiants des cégeps et des universités. La solution négociée par la FEUQ et la FECQ a déplu à une majorité d'étudiants, qui s'étaient tout de même résignés à revenir en classe.
La FECQ craint-elle de voir son influence diminuer au même rythme que son effectif ? "À court terme, non, nous avons toujours l'impression de défendre tous les étudiants. Mais à long terme, il est certain qu'il faut aller chercher plus de membres", dit Étienne Hudon-Gagnon, en précisant que la moitié des associations étudiantes des cégeps ont toujours revendiqué le statut d'indépendantes.
La FEUQ et l'Association pour une solidarité sociale étudiante (ASSÉ) semblent s'être mieux sorties de l'épreuve de la grève. La première a puisé dans son fonds de campagne - l'équivalent d'un fonds de grève chez les syndicats - pour payer la note et a ainsi épargné son budget courant. Elle a toutefois vu son effectif s'effriter, notamment avec le départ de la Confédération des associations d'étudiants de l'Université Laval (CADEUL).
L'ASSÉ affirme pour sa part représenter 31 000 étudiants. Si elle a déjà réussi à éponger la facture de 26 000 $ engendrée par la grève, elle prévoit toutefois un déficit de 7000 $ cette année. Pour le résorber, elle compte augmenter la cotisation de ses membres de 1 $ à 1,50 $ par session, ce qui demeure bien inférieur aux 2,50 $ réclamés par la FEUQ et la FECQ.
AMorin@lesoleil.com
Catégorie : Actualités
Sujet(s) uniforme(s) : Enseignement supérieur
Taille : Moyen, 401 mots
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Au fait, les AGs au Vieux-Montréal cette année, ça se passe bien ?
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